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Le Séminaire, Livre XVIII, D'un discours qui ne serait pas du semblant / Jacques Lacan
Titre : Le Séminaire, Livre XVIII, D'un discours qui ne serait pas du semblant Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Lacan, Auteur Editeur : Seuil Année de publication : 2006 Collection : Le Champ freudien Importance : 194 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-090219-9 Prix : 21 euros Langues : Français (fre) Sommaire : I. Introduction au titre de ce Séminaire, 9
II. L’homme et la femme, 23
III. Contre les linguistes, 39
IV. L’écrit et la vérité, 55
V. L’écrit et la parole, 77
VI. D’une fonction à ne pas écrire, 95
VII. Leçon sur Lituraterre, 113
VIII. L’homme et la femme et la logique, 129
IX. L'homme et une femme et la psychanalyse, 145
X. Du mythe que Freud a forgé, 163
ANNEXES
Quelques références de Lacan à Lacan, et à d’autres, 181
Index des noms propres, 1854° de Couverture : Titre de prime abord énigmatique. Donnons le mot: il s’agit de l’homme et de la femme — de leurs relations les plus concrètes, amoureuses et sexuelles, dans leur vie de tous les jours, oui, comme dans leurs rêves et leurs fantasmes. Cela n'a rien à faire, bien entendu, avec ce que la biologie étudie sous le nom de sexualité. Faut-il pour autant laisser ce domaine à la poésie, au roman, aux idéologies? On tente ici d’en donner une logique. C’est retors.
Dans l’ordre sexuel, il ne suffit pas d'être, il faut encore paraître. Cela est vrai des animaux. L’éthologie a détaillé la parade qui précède et conditionne l’accouplement: c’est, dans la règle, le mâle qui fait signe à sa partenaire de ses bonnes dispositions, par l’exhibition de formes, couleurs, postures. Ces signifiants imaginaires constituent ce que nous appelons des semblants. On a pu aussi bien les mettre en valeur dans l’espèce humaine, et y trouver matière à satire. Pour y trouver matière à science, il convient de les bien distinguer du réel qu’ils voilent et manifestent à la fois, celui de la jouissance.
Celle-ci n’est pas la même pour l’un et l'autre sexes. Difficilement localisable du côté femme, et à vrai dire diffus et insituable, le réel en jeu est, du côté homme, coordonné à un semblant majeur, le phallus. D'où il ressort: que, contrairement au sens commun, l’homme est l’esclave du semblant qu’il supporte, tandis que, plus libre à cet endroit, la femme est aussi plus proche du réel; que rencontrer sexuellement la femme est toujours pour l’homme mettre le semblant à l’épreuve du réel, et vaut comme « heure de vérité » ; que, si le phallus est apte à signifier l'homme comme tel, "tout homme", la jouissance féminine, pour n'être «pas-toute» prise dans ce semblant, fait objection à l'universel.
Dès lors, une logique est possible en effet, si l’on a le nerf d’écrire ainsi la fonction phallique, grand phi ( x), et de formaliser les deux modes distincts, pour un sujet, de se sexualiser, en s’y inscrivant comme argument. Cette élaboration demande: de passer outre les mythes inventés par Freud, l’Oedipe et le Père de la horde (Totem et tabou); de mobiliser Aristote, Pierce, la théorie de la quantification; d'élucider la vraie nature de l'écrit, en passant par le chinois et le japonais.
Au terme du parcours, on saura donner sa valeur exacte à l'aphorisme lacanien : "Il n’y a pas de rapport sexuel. »
Jacques-Alain Miller
Le Séminaire, Livre XVIII, D'un discours qui ne serait pas du semblant [texte imprimé] / Jacques Lacan, Auteur . - Seuil, 2006 . - 194 pages. - (Le Champ freudien) .
ISBN : 978-2-02-090219-9 : 21 euros
Langues : Français (fre)
Sommaire : I. Introduction au titre de ce Séminaire, 9
II. L’homme et la femme, 23
III. Contre les linguistes, 39
IV. L’écrit et la vérité, 55
V. L’écrit et la parole, 77
VI. D’une fonction à ne pas écrire, 95
VII. Leçon sur Lituraterre, 113
VIII. L’homme et la femme et la logique, 129
IX. L'homme et une femme et la psychanalyse, 145
X. Du mythe que Freud a forgé, 163
ANNEXES
Quelques références de Lacan à Lacan, et à d’autres, 181
Index des noms propres, 1854° de Couverture : Titre de prime abord énigmatique. Donnons le mot: il s’agit de l’homme et de la femme — de leurs relations les plus concrètes, amoureuses et sexuelles, dans leur vie de tous les jours, oui, comme dans leurs rêves et leurs fantasmes. Cela n'a rien à faire, bien entendu, avec ce que la biologie étudie sous le nom de sexualité. Faut-il pour autant laisser ce domaine à la poésie, au roman, aux idéologies? On tente ici d’en donner une logique. C’est retors.
Dans l’ordre sexuel, il ne suffit pas d'être, il faut encore paraître. Cela est vrai des animaux. L’éthologie a détaillé la parade qui précède et conditionne l’accouplement: c’est, dans la règle, le mâle qui fait signe à sa partenaire de ses bonnes dispositions, par l’exhibition de formes, couleurs, postures. Ces signifiants imaginaires constituent ce que nous appelons des semblants. On a pu aussi bien les mettre en valeur dans l’espèce humaine, et y trouver matière à satire. Pour y trouver matière à science, il convient de les bien distinguer du réel qu’ils voilent et manifestent à la fois, celui de la jouissance.
Celle-ci n’est pas la même pour l’un et l'autre sexes. Difficilement localisable du côté femme, et à vrai dire diffus et insituable, le réel en jeu est, du côté homme, coordonné à un semblant majeur, le phallus. D'où il ressort: que, contrairement au sens commun, l’homme est l’esclave du semblant qu’il supporte, tandis que, plus libre à cet endroit, la femme est aussi plus proche du réel; que rencontrer sexuellement la femme est toujours pour l’homme mettre le semblant à l’épreuve du réel, et vaut comme « heure de vérité » ; que, si le phallus est apte à signifier l'homme comme tel, "tout homme", la jouissance féminine, pour n'être «pas-toute» prise dans ce semblant, fait objection à l'universel.
Dès lors, une logique est possible en effet, si l’on a le nerf d’écrire ainsi la fonction phallique, grand phi ( x), et de formaliser les deux modes distincts, pour un sujet, de se sexualiser, en s’y inscrivant comme argument. Cette élaboration demande: de passer outre les mythes inventés par Freud, l’Oedipe et le Père de la horde (Totem et tabou); de mobiliser Aristote, Pierce, la théorie de la quantification; d'élucider la vraie nature de l'écrit, en passant par le chinois et le japonais.
Au terme du parcours, on saura donner sa valeur exacte à l'aphorisme lacanien : "Il n’y a pas de rapport sexuel. »
Jacques-Alain Miller
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100599 LAC Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Jacques Lacan (LAC) Exclu du prêt Le Séminaire, livre XX, Encore / Jacques Lacan
Titre : Le Séminaire, livre XX, Encore Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Lacan, Auteur Editeur : Seuil Année de publication : 1975 Collection : Le Champ freudien Importance : 146 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-002769-4 Langues : Français (fre) Sommaire : I. De la jouissance, 9
II. A Jakobson, 19
III. La fonction de l’écrit, 29
IV. L’amour et le signifiant, 39
V. Aristote et Freud : l’autre satisfaction, 49
VI. Dieu et la jouissance de La/ femme, 61
VII. Une lettre d’âmour, 73
VIII. Le savoir et la vérité, 83
IX. Du baroque, 95
X. Ronds de ficelle, 107
XI. Le rat dans le labyrinthe, 1254° de Couverture : Vous n’avez qu’à aller regarder à Rome la statue du Bernin pour comprendre tout de suite qu’elle jouit, sainte Thérèse, ça ne fait pas de doute. Et de quoi jouit-elle ? Il est clair que le témoignage essentiel des mystiques c’est justement de dire qu'ils l'éprouvent, mais qu’ils n’en savent rien.
Ces jaculations mystiques, ce n’est ni du bavardage, ni du verbiage, c’est en somme ce qu’on peut lire de mieux. Tout à fait en bas de page, note — Y ajouter les Ecrits de Jacques Lacan, parce que c’est du même ordre. Ce qui se tentait à la fin du siècle dernier, au temps de Freud, ce qu’ils cherchaient, toutes sortes de braves gens dans l’entourage de Charcot et des autres, c’était de ramener la mystique à des affaires de foutre. Si vous y regardez de près, ce n’est pas ça du tout. Cette jouissance qu’on éprouve et dont on ne sait rien, n’est-ce pas ce qui nous met sur la voie de l'ex-sistence ? Et pourquoi ne pas interpréter une face de l’Autre, la face Dieu, comme supportée par la jouissance féminine ?
(Chapitre VI.)
Le Séminaire, livre XX, Encore [texte imprimé] / Jacques Lacan, Auteur . - Seuil, 1975 . - 146 pages. - (Le Champ freudien) .
ISBN : 978-2-02-002769-4
Langues : Français (fre)
Sommaire : I. De la jouissance, 9
II. A Jakobson, 19
III. La fonction de l’écrit, 29
IV. L’amour et le signifiant, 39
V. Aristote et Freud : l’autre satisfaction, 49
VI. Dieu et la jouissance de La/ femme, 61
VII. Une lettre d’âmour, 73
VIII. Le savoir et la vérité, 83
IX. Du baroque, 95
X. Ronds de ficelle, 107
XI. Le rat dans le labyrinthe, 1254° de Couverture : Vous n’avez qu’à aller regarder à Rome la statue du Bernin pour comprendre tout de suite qu’elle jouit, sainte Thérèse, ça ne fait pas de doute. Et de quoi jouit-elle ? Il est clair que le témoignage essentiel des mystiques c’est justement de dire qu'ils l'éprouvent, mais qu’ils n’en savent rien.
Ces jaculations mystiques, ce n’est ni du bavardage, ni du verbiage, c’est en somme ce qu’on peut lire de mieux. Tout à fait en bas de page, note — Y ajouter les Ecrits de Jacques Lacan, parce que c’est du même ordre. Ce qui se tentait à la fin du siècle dernier, au temps de Freud, ce qu’ils cherchaient, toutes sortes de braves gens dans l’entourage de Charcot et des autres, c’était de ramener la mystique à des affaires de foutre. Si vous y regardez de près, ce n’est pas ça du tout. Cette jouissance qu’on éprouve et dont on ne sait rien, n’est-ce pas ce qui nous met sur la voie de l'ex-sistence ? Et pourquoi ne pas interpréter une face de l’Autre, la face Dieu, comme supportée par la jouissance féminine ?
(Chapitre VI.)
Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100029 LAC Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Jacques Lacan (LAC) Exclu du prêt 100053 LAC Livre Réserve Jacques Lacan (LAC) Exclu du prêt Le séminaire, Livre XXIII, Le sinthome / Jacques Lacan
Titre : Le séminaire, Livre XXIII, Le sinthome : Texte établi par Jacques-Alain Miller Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Lacan, Auteur Editeur : Seuil Année de publication : 2005 Collection : Le Champ freudien Importance : 258 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-079666-8 Langues : Français (fre) Sommaire : L'ESPRIT DES NŒUDS
I. De l'usage logique du sinthome, ou Freud avec Joyce, 11
II. De ce qui fait trou dans le réel, 27
III. Du nœud comme support du sujet, 45
LA PISTE DE JOYCE
IV. Joyce et l’énigme du renard, 61
V. Joyce était-il fou ?, 77
VI. Joyce et les paroles imposées, 91
L'INVENTION DU RÉEL
VII. D’une fallace témoignant du réel, 105
VIII. Du sens, du sexe et du réel, 119
IX. De l’inconscient au réel, 129
POUR CONCLURE
X. L’écriture de l’ego, 143
Notice, 157
ANNEXES
Joyce le Symptôme, par Jacques Lacan, 161
Exposé au Séminaire de Jacques Lacan, par Jacques Aubert, 171
Notes de lecture, par Jacques Aubert, 189
Notice de fil en aiguille, par Jacques-Alain Miller, 199
Index des noms propres, 2494° de Couverture : Dix fois, un vieillard aux cheveux blancs paraît sur la scène. Dix fois souffle et soupire. Dix fois dessine lentement d étranges arabesques multicolores qui se nouent entre elles et aux méandres et volutes de sa parole tour à tour embarrassée et déliée. Ils sont une foule à contempler médusés l’homme- énigme, et à recevoir "l'ipse dixit" en espérant une illumination qui se fait attendre.
"Non lucet", il ne fait pas clair là-dedans, et les Théodore cherchent des allumettes. Pourtant, se disent-ils, "cuicumque in sua arte perito credendum est", qui a prouvé être habile en son art mérite créance. À partir de quand quelqu’un est-il fou? Le maître lui-même pose la question.
C'était jadis. C’étaient les mystères de Paris il y a trente ans.
Tel Dante prenant la main de Virgile pour s’avancer dans les cercles de l’Enfer, Lacan prenait celle de James Joyce, l’illisible Irlandais, et, à la suite de ce fluet Commandeur des Incroyants, entrait d’un pas lourd et trébuchant dans la zone incandescente où brûlent et se tordent femmes-symptômes et hommes-ravages.
Une troupe équivoque l’assistait cahin-caha : son gendre; un écrivain ébouriffé, alors jeune et tout aussi illisible; deux mathématiciens dialoguant; et un professeur lyonnais attestant le sérieux de toute l’affaire. Quelque Pasiphaé discrète s’employait derrière le rideau.
Riez, braves gens ! Je vous en prie. Moquez-vous ! Notre illusion comique est là pour ça. Ainsi ne saurez-vous rien de ce qui se déroule sous vos yeux écarquillés: la mise en question la plus méditée, la plus lucide, la plus intrépide, de l’art sans pareil que Freud inventa, et que l’on connaît sous le pseudonyme de psychanalyse.
Jacques-Alain Miller
Le séminaire, Livre XXIII, Le sinthome : Texte établi par Jacques-Alain Miller [texte imprimé] / Jacques Lacan, Auteur . - Seuil, 2005 . - 258 pages. - (Le Champ freudien) .
ISBN : 978-2-02-079666-8
Langues : Français (fre)
Sommaire : L'ESPRIT DES NŒUDS
I. De l'usage logique du sinthome, ou Freud avec Joyce, 11
II. De ce qui fait trou dans le réel, 27
III. Du nœud comme support du sujet, 45
LA PISTE DE JOYCE
IV. Joyce et l’énigme du renard, 61
V. Joyce était-il fou ?, 77
VI. Joyce et les paroles imposées, 91
L'INVENTION DU RÉEL
VII. D’une fallace témoignant du réel, 105
VIII. Du sens, du sexe et du réel, 119
IX. De l’inconscient au réel, 129
POUR CONCLURE
X. L’écriture de l’ego, 143
Notice, 157
ANNEXES
Joyce le Symptôme, par Jacques Lacan, 161
Exposé au Séminaire de Jacques Lacan, par Jacques Aubert, 171
Notes de lecture, par Jacques Aubert, 189
Notice de fil en aiguille, par Jacques-Alain Miller, 199
Index des noms propres, 2494° de Couverture : Dix fois, un vieillard aux cheveux blancs paraît sur la scène. Dix fois souffle et soupire. Dix fois dessine lentement d étranges arabesques multicolores qui se nouent entre elles et aux méandres et volutes de sa parole tour à tour embarrassée et déliée. Ils sont une foule à contempler médusés l’homme- énigme, et à recevoir "l'ipse dixit" en espérant une illumination qui se fait attendre.
"Non lucet", il ne fait pas clair là-dedans, et les Théodore cherchent des allumettes. Pourtant, se disent-ils, "cuicumque in sua arte perito credendum est", qui a prouvé être habile en son art mérite créance. À partir de quand quelqu’un est-il fou? Le maître lui-même pose la question.
C'était jadis. C’étaient les mystères de Paris il y a trente ans.
Tel Dante prenant la main de Virgile pour s’avancer dans les cercles de l’Enfer, Lacan prenait celle de James Joyce, l’illisible Irlandais, et, à la suite de ce fluet Commandeur des Incroyants, entrait d’un pas lourd et trébuchant dans la zone incandescente où brûlent et se tordent femmes-symptômes et hommes-ravages.
Une troupe équivoque l’assistait cahin-caha : son gendre; un écrivain ébouriffé, alors jeune et tout aussi illisible; deux mathématiciens dialoguant; et un professeur lyonnais attestant le sérieux de toute l’affaire. Quelque Pasiphaé discrète s’employait derrière le rideau.
Riez, braves gens ! Je vous en prie. Moquez-vous ! Notre illusion comique est là pour ça. Ainsi ne saurez-vous rien de ce qui se déroule sous vos yeux écarquillés: la mise en question la plus méditée, la plus lucide, la plus intrépide, de l’art sans pareil que Freud inventa, et que l’on connaît sous le pseudonyme de psychanalyse.
Jacques-Alain Miller
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100612 LAC Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Jacques Lacan (LAC) Exclu du prêt Le sexe et le signifiant / Alain Abelhauser
Titre : Le sexe et le signifiant : Suites cliniques Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Abelhauser, Auteur Editeur : Seuil Année de publication : 2002 Collection : Le Champ freudien Importance : 370 pages ISBN/ISSN/EAN : 20205400010 Langues : Français (fre) Sommaire : PROLOGUE
Le sexe et le signifiant , 9
PREMIÈRE PARTIE – SINGULARITÉ DU CAS
1. Le vrai et le faux, 23
2. La finesse d’un double acte manqué, 33
3. Un rêve utilisé comme preuve - exorbitante, 39
4. ... Donner ce qu’on n’a pas, 51
- a) Un chien de ma chienne, 53
- b) L’intérimaire, 61
- c) Le panache du bichon , 71
5. En avoir ou pas, 79
6. Le myopotame, 91
7. L’homme qui voulait avoir le sida, 103
DEUXIÈME PARTIE – VARIÉTÉS DE LA CLINIQUE
1. L’éthologie amusante , 131
- a) D’un rapport « hasardeux », 133
- b) L’amour des petits lapins, 135
- c) Le jardinier impatient , 139
- d) Le maître et l’esclave , 14l
2. La biologie modèle, 145
- a) L’axolotl, 149
- b) Le sexe des anges, l6l
- c) Bel exemple pour nos enfants, 165
3. Moipho Eugenia, 169
4. Histoire d’un procès, 177
5. « Solaris », 187
6. La divine miséricorde, 203
TROISIÈME PARTIE – ÉPREUVES
1. La méthode, 219
- a) La « pointe » du cas, 223
- b) Discrétion et invention, 227
- c) Pile - je gagne ; face - tu perds, 231
2. « S’oublier », 237
3. Le curieux et l’étrange, 249
4. « Il n'y a de rapport sexuel qu’incestueux... », 261
5. Une « pratique de bavardage », 273
6. Exigences du bien-dire, 285
7. Morale, éthique et clinique, 301
ÉPILOGUE
Le point final, 317
Références , 333
Précisions et remerciements, 3514° de Couverture : Le sexe et le signifiant : drôle de couple, vraiment ! Mais pourtant d’actualité, à cette heure où la logique du vivant vient épouser celle du signifiant, reprenant la mesure de l’inconscient et faisant de la jouissance sa partenaire obligée.
Gomment en rendre compte, plus précisément ? Par un triple pari, répond Alain Abelhauser. Celui d’une visée, d’abord, très simple : montrer que ce n’est qu’en en passant par le signifiant que le sexe fait du désir humain ce qu’il est.
Accompagnée d’une prétention, ensuite : s’inscrire, ce faisant, dans le droit-fil de la découverte freudienne de l’inconscient, pour en renouveler la fraîcheur au gré de notre modernité.
Et guidée par une méthode, enfin : contrebalancer la rigueur du concept par l’inventivité du trait d’esprit, et mettre, sans relâche, la théorie à l’épreuve de la clinique.
S’appuyant, pour ce, aussi bien sur une série de cas tirés de sa propre pratique que sur des vignettes fournies par la vie quotidienne, la littérature, le cinéma, les mythes ou la science, Alain Abelhauser propose ici ces suites qui sont autant de fables sur le déterminisme qu’exercent sexe et signifiant sur le sujet humain, sur celui que Lacan appela le « parlêtre ».
Alain Abelhauser. Né en 1954 en Alsace. Psychanalyste. À longtemps été chargé de cours au département de psychanalyse de l’université de Paris VIII, tout en exerçant au CHU de Paris XI (laboratoire d’hématologie et service de médecine interne). Professeur des Universités, il enseigne à présent au département de psychologie de l’université de Rennes II-Haute Bretagne.
Le sexe et le signifiant : Suites cliniques [texte imprimé] / Alain Abelhauser, Auteur . - Seuil, 2002 . - 370 pages. - (Le Champ freudien) .
ISSN : 20205400010
Langues : Français (fre)
Sommaire : PROLOGUE
Le sexe et le signifiant , 9
PREMIÈRE PARTIE – SINGULARITÉ DU CAS
1. Le vrai et le faux, 23
2. La finesse d’un double acte manqué, 33
3. Un rêve utilisé comme preuve - exorbitante, 39
4. ... Donner ce qu’on n’a pas, 51
- a) Un chien de ma chienne, 53
- b) L’intérimaire, 61
- c) Le panache du bichon , 71
5. En avoir ou pas, 79
6. Le myopotame, 91
7. L’homme qui voulait avoir le sida, 103
DEUXIÈME PARTIE – VARIÉTÉS DE LA CLINIQUE
1. L’éthologie amusante , 131
- a) D’un rapport « hasardeux », 133
- b) L’amour des petits lapins, 135
- c) Le jardinier impatient , 139
- d) Le maître et l’esclave , 14l
2. La biologie modèle, 145
- a) L’axolotl, 149
- b) Le sexe des anges, l6l
- c) Bel exemple pour nos enfants, 165
3. Moipho Eugenia, 169
4. Histoire d’un procès, 177
5. « Solaris », 187
6. La divine miséricorde, 203
TROISIÈME PARTIE – ÉPREUVES
1. La méthode, 219
- a) La « pointe » du cas, 223
- b) Discrétion et invention, 227
- c) Pile - je gagne ; face - tu perds, 231
2. « S’oublier », 237
3. Le curieux et l’étrange, 249
4. « Il n'y a de rapport sexuel qu’incestueux... », 261
5. Une « pratique de bavardage », 273
6. Exigences du bien-dire, 285
7. Morale, éthique et clinique, 301
ÉPILOGUE
Le point final, 317
Références , 333
Précisions et remerciements, 3514° de Couverture : Le sexe et le signifiant : drôle de couple, vraiment ! Mais pourtant d’actualité, à cette heure où la logique du vivant vient épouser celle du signifiant, reprenant la mesure de l’inconscient et faisant de la jouissance sa partenaire obligée.
Gomment en rendre compte, plus précisément ? Par un triple pari, répond Alain Abelhauser. Celui d’une visée, d’abord, très simple : montrer que ce n’est qu’en en passant par le signifiant que le sexe fait du désir humain ce qu’il est.
Accompagnée d’une prétention, ensuite : s’inscrire, ce faisant, dans le droit-fil de la découverte freudienne de l’inconscient, pour en renouveler la fraîcheur au gré de notre modernité.
Et guidée par une méthode, enfin : contrebalancer la rigueur du concept par l’inventivité du trait d’esprit, et mettre, sans relâche, la théorie à l’épreuve de la clinique.
S’appuyant, pour ce, aussi bien sur une série de cas tirés de sa propre pratique que sur des vignettes fournies par la vie quotidienne, la littérature, le cinéma, les mythes ou la science, Alain Abelhauser propose ici ces suites qui sont autant de fables sur le déterminisme qu’exercent sexe et signifiant sur le sujet humain, sur celui que Lacan appela le « parlêtre ».
Alain Abelhauser. Né en 1954 en Alsace. Psychanalyste. À longtemps été chargé de cours au département de psychanalyse de l’université de Paris VIII, tout en exerçant au CHU de Paris XI (laboratoire d’hématologie et service de médecine interne). Professeur des Universités, il enseigne à présent au département de psychologie de l’université de Rennes II-Haute Bretagne.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 101131 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt La sexualité féminine dans la doctrine freudienne / Mustapha Safouan
Titre : La sexualité féminine dans la doctrine freudienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Mustapha Safouan, Auteur Editeur : Seuil Année de publication : 1976 Collection : Le Champ freudien Importance : 161 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-02-004406-6 Langues : Français (fre) Sommaire : Introduction, 7
I – Un débat historique, 11
II – La sexualité féminine selon Karen Horney, 27
III – La sexualité féminine selon Ernest Jones, 49
IV – L’homosexualité masculine et ses relations avec le mythe œdipien, 63
V – La dissolution du complexe d’Œdipe, 75
VI – Le complexe de castration chez le garçon, 87
VII – L’envie du pénis : le déni et l’espoir, 95
VIII – L’envie du pénis : le complexe de masculinité, 105
IX – L’homosexualité féminine, 117
X – Autres conséquences de la différence anatomique entre les sexes, 129
XI – Théorie du coït, 141
Perspectives, 1554° de Couverture : Ce livre est la suite des Études sur l’Œdipe et mène à son terme la révision de ce point central dans la
doctrine freudienne : le complexe d’Œdipe.
Tant qu’il allait de soi que l’Œdipe de chacun, garçon ou fille, devait suivre la loi de son sexe, la psychanalyse était comme le nouveau-né qui passe la plupart de son temps à dormir, et pouvait se contenter
d’une conception mythologique de la paternité, celle-là même qui joue dans la névrose. Ce qui signifie que Freud avait découvert le complexe sans l’expliquer. C’est précisément la découverte de la « phase phallique » qui a rendu cette révision exigible —, ce à quoi beaucoup d’analystes, notamment Jones, n’ont pas pu se résoudre.
Que la phase phallique puisse jouer chez la fille, on s’en étonnera moins quand on saura que son fonctionnement n’est guère plus « compréhensible » chez le garçon. La déduire comme effet du langage chez l’être parlant, selon les lignes directrices de l’enseignement de Lacan, ce n’est pas méconnaître les effets considérables de la différence anatomique entre les sexes, tant dans la modulation de la névrose que dans celle du désir normal ou normativé.
Du même auteur
« Le structuralisme en psychanalyse », in Qu’est-ce que le structuralisme ?, 1968.
Études sur l’Œdipe, 1974.La sexualité féminine dans la doctrine freudienne [texte imprimé] / Mustapha Safouan, Auteur . - Seuil, 1976 . - 161 pages. - (Le Champ freudien) .
ISBN : 978-2-02-004406-6
Langues : Français (fre)
Sommaire : Introduction, 7
I – Un débat historique, 11
II – La sexualité féminine selon Karen Horney, 27
III – La sexualité féminine selon Ernest Jones, 49
IV – L’homosexualité masculine et ses relations avec le mythe œdipien, 63
V – La dissolution du complexe d’Œdipe, 75
VI – Le complexe de castration chez le garçon, 87
VII – L’envie du pénis : le déni et l’espoir, 95
VIII – L’envie du pénis : le complexe de masculinité, 105
IX – L’homosexualité féminine, 117
X – Autres conséquences de la différence anatomique entre les sexes, 129
XI – Théorie du coït, 141
Perspectives, 1554° de Couverture : Ce livre est la suite des Études sur l’Œdipe et mène à son terme la révision de ce point central dans la
doctrine freudienne : le complexe d’Œdipe.
Tant qu’il allait de soi que l’Œdipe de chacun, garçon ou fille, devait suivre la loi de son sexe, la psychanalyse était comme le nouveau-né qui passe la plupart de son temps à dormir, et pouvait se contenter
d’une conception mythologique de la paternité, celle-là même qui joue dans la névrose. Ce qui signifie que Freud avait découvert le complexe sans l’expliquer. C’est précisément la découverte de la « phase phallique » qui a rendu cette révision exigible —, ce à quoi beaucoup d’analystes, notamment Jones, n’ont pas pu se résoudre.
Que la phase phallique puisse jouer chez la fille, on s’en étonnera moins quand on saura que son fonctionnement n’est guère plus « compréhensible » chez le garçon. La déduire comme effet du langage chez l’être parlant, selon les lignes directrices de l’enseignement de Lacan, ce n’est pas méconnaître les effets considérables de la différence anatomique entre les sexes, tant dans la modulation de la névrose que dans celle du désir normal ou normativé.
Du même auteur
« Le structuralisme en psychanalyse », in Qu’est-ce que le structuralisme ?, 1968.
Études sur l’Œdipe, 1974.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100196 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt 101378 AUTR Livre Réserve Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt Le symptôme-charlatan / Antoni Vicens ; Samuel Basz ; Serge Cottet ; Enric Berenguer ; Juan Carlos Indart ; Ronald Portillo ; Philippe Stasse ; Pierre-Gilles Guéguen ; Vincente Mira ; Leonardo Gorostiza ; Flory Kruger ; Anne Szulzynger ; Monique Kusnierek ; Marie-Jean Sauret ; Miriam Chorne ; Miquel Bassols ; Graciela Brodsky ; Francisco Perena ; Ricardo Seldes ; Bernardino Horne ; Lucia D'Angelo ; Pierre Strélisky ; Carmen Gallano ; Fabien Grasser ; José Monseny ; Antonio Quinet ; Shula Eldar ; Rosine Lefort ; Virginio Baïo ; Pierre Skriabine ; Vicente Palomera ; Guy Briole ; Pierre Sidon ; Jacques-Alain Miller
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