Fantasme originaire Fantasme des origines Origines du fantasme / Jean Laplanche

Public ISBD Titre : Fantasme originaire Fantasme des origines Origines du fantasme Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Laplanche, Auteur ; J.-B. Pontalis, Auteur Mention d'édition : 6ème édition Editeur : Hachette Littératures Année de publication : 1985 Importance : 126 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-01-278945-6 Langues : Français (fre) 4° de Couverture : Jean Laplanche est professeur à l’université Paris-VII. Jean-Bertrand Pontalis, analyste, écrivain et éditeur, a dirigé notamment :Nouvelle revue de psychanalyse. Il a publié plusieurs essais et récits. Tous deux membres de l’Association psychanalytique de France, ils ont écrit en commun le fameux Vocabulaire de la Psychanalyse (1967). Quel est le statut du fantasme ? Qu'est-ce qui assure son lien électif avec la sexualité ? Quelle fonction joue donc le concept d'origine ? Telles sont quelques-unes des questions que les auteurs du Vocabulaire de la Psychanalyse déploient ici à travers une lecture originale de Freud qu’ils complètent par les récents développements de la psychanalyse sur ces sujets. Cet essai fut très vite reconnu comme novateur par les psychanalystes et les philosophes. Fantasme originaire Fantasme des origines Origines du fantasme [texte imprimé] / Jean Laplanche, Auteur ; J.-B. Pontalis, Auteur  . -  6ème édition . - Hachette Littératures, 1985 . - 126 pages. ISBN : 978-2-01-278945-6 Langues : Français (fre) 4° de Couverture : Jean Laplanche est professeur à l’université Paris-VII. Jean-Bertrand Pontalis, analyste, écrivain et éditeur, a dirigé notamment :Nouvelle revue de psychanalyse. Il a publié plusieurs essais et récits. Tous deux membres de l’Association psychanalytique de France, ils ont écrit en commun le fameux Vocabulaire de la Psychanalyse (1967). Quel est le statut du fantasme ? Qu'est-ce qui assure son lien électif avec la sexualité ? Quelle fonction joue donc le concept d'origine ? Telles sont quelques-unes des questions que les auteurs du Vocabulaire de la Psychanalyse déploient ici à travers une lecture originale de Freud qu’ils complètent par les récents développements de la psychanalyse sur ces sujets. Cet essai fut très vite reconnu comme novateur par les psychanalystes et les philosophes.

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Hannah Arendt / Sylvie Courtine-Denamy

Public ISBD Titre : Hannah Arendt Type de document : texte imprimé Auteurs : Sylvie Courtine-Denamy, Auteur Editeur : Hachette Littératures Année de publication : 1994 Collection : Pluriel Importance : 454 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-01-278886-2 Langues : Français (fre) Sommaire : PREMIÈRE PARTIE – IDENTITÉ ET MÉMOIRE Prologue : 17 Femini generis : « Vive la petite différence! », 19 CHAPITRE I : DAS MÄDCHEN AUS DER FREMDE, 23 Allemande ?, 23 L’« essence allemande » : le débat avec Jaspers avant guerre, 23 – L’ignorance du problème juif dans l’Allemagne d'après-guerre, 24 – La question du retour : la « reconnaissance » et la langue, 26 – Le « sel de la terre » et l’acosmisme, 27. America ! America !, 32 Une langue, un métier, un statut, 32 – Une nationalité, 34 – Premières impressions d’Amérique, 36 – Le « rêve américain » de la prospérité, 37 – Kennedy : l'espoir, 38 – Agitation étudiante et guerre du Vietnam, 40 Juive, 42 Les données familiales, 44 – Rahel : « un portrait du peintre » ?, 46 – L’engagement sioniste, 49 – Theodor Herzl, 50 – Bernard Lazare, 53 – Kurt Blumenfeld, 59 CHAPITRE II : ZAKHOR !, 67 Le devoir de mémoire, 67 L’oubli de Yahvé ?, 67 – L'oubli des Juifs au lendemain de la guerre, 70 – La « Résistance » allemande : les critères d’Arendt, 73 Responsabilité et repentir, 77 Le cas Heidegger, 77 La culpabilité allemande, 85 Les quatre formes de culpabilité distinguées par Jaspers, 85 – La réception du livre de Jaspers, 87 – La polémique autour de Thomas Mann, 88 – La responsabilité selon Arendt, 96 – RDA et RFA : le « refoulement » de la question juive, 98 – La disproportion entre crime et châtiment, 100 Le procès Eichmann, 102 Les motivations d'Arendt, 102 – L'atmosphère du procès : premières impressions, 104 – Les réactions à la publication, 104 – La « banalité du mal », 109 – Les reproches sur le « ton » : la « haine de soi » ?, 112 – Le Vicaire de Hochhuth : le rôle de l’Église catholique pendant la guerre, 115 Les dangers de la mémoire, 117 Le débat des historiens : une mémoire « vaine » ?, 118 – Les échos de la controverse en France, 121 CHAPITRE III : LA QUESTION DU « MÉTIER », 123 Nulle part ?, 123 – L’ambivalence à l’égard de la « théorie politique » : la pensée et l'action, 125 – La déformation professionnelle, 133 – Théorie politique contre philosophie politique, 136 – Les dangers de la philosophie, 138 – Le « retour » à la pensée : « s’exposer au vent de la chose », 143 – Une « sorte de phénoménologue » ?, 147 – La pêche aux perles et aux coraux, 152 DEUXIÈME PARTIE – PARCOURS DE L’ŒUVRE Prologue : Penser l’amour, 157 Le Concept d'amour chez saint Augustin, 157 – La soutenance de thèse d'Arendt et le rapport de Jaspers, 157 – Une interprétation philosophique d'Augustin, 159 – L’amour comme désir, 160 – Créateur-créature, 161 – La vie en société, 162 – Le choix d’Augustin, 163 CHAPITRE I : PENSER LE JUDAÏSME, 166 « Rahel Varnhagen, La vie d'une juive allemande à l'époque du romantisme », 168 L'atmosphère des salons berlinois, 168 – Le piège de l’assimilation, 169 « La tradition cachée », 173 Perversité de l'Aufklärung, 174 – Le choix : paria ou parvenu, 175 – L’acosmisme du paria, 177 – Le paria conscient, 178 « Auschwitz et Jérusalem », 180 Comprendre Auschwitz, 180 – La passion déjuger, 181 – Lutter pour devenir un « peuple », 182 – Juifs et Arabes, 184 – Les critiques d'Arendt à l'égard du sionisme, 186 – L’acosmisme des sionistes ?, 188 « Penser l'événement », 189 Faut-il avoir honte aujourd'hui d'être Allemand ?, 190 – Le « caractère national » allemand, 192 – Description d'un cauchemar, 194 – « Juger par soi-même », 197 « Eichmann à Jérusalem », 200 Une arrestation illégale ?, 200 – Un tribunal illégitime ?, 201 – L'objet du procès ?, 201 – Le déroulement du procès, 203 – L’accusé, 204 – Le verdict, 207 – L'échec du procès de Jérusalem, 208 – L’objet du livre et ses répercussions, page ? CHAPITRE II : PENSER LE TOTALITARISME, 213 « Sur l'antisémitisme », 213 Le mythe de la conspiration judéo-maçonnique, 214 – Aux sources de 1'anti-sémitisme moderne, 216 – L'Affaire Dreyfus, 219 « L'impérialisme », 223 Le moteur de l’expansion impérialiste, 223 – Naissance de la pensée raciale, 224 – L’impuissance des Droits de l’Homme, 225 « Le système totalitaire », 227 Les conditions de la rédaction, 227 – La réception du livre, 229 – La finalité du livre : comprendre, 235 – La « nouveauté » du totalitarisme, 239 – La perte du sens commun, 246 – Les camps de concentration : le « mal radical » ?, 247 CHAPITRE III : PENSER LA MODERNITÉ, 250 « La Crise de la culture », 250 La tradition et l’âge moderne, 253 – Le concept d’histoire antique et moderne, 255 – Qu'est-ce que l’autorité ?, 258 – Qu’est-ce que la liberté ?, 262 – La crise de l’éducation, 266 – La crise de la culture. Sa portée sociale et politique, 270 – Vérité et Politique, 273 – La conquête de l'espace et la dimension de l’homme, 275 « Vies politiques », 276 Figures de l'humanitas, 277 – Conteurs et poètes, 285 – La « pasionaria », 287 – Les « penseurs poétiques », 292 – Un style nouveau, 294 – Littérature et engagement, 296 – L’expérience de la mort, 298 – Brecht et la « génération perdue », 301 – Poésie et politique, 302 – Méconnaissance de Walter Benjamin, 306 – L’engagement marxiste, 308 – Le suicide de Benjamin, 309 « La condition de l'homme moderne », 312 Vita Activa, 313 – La fidélité aux Grecs, 315 – Le désir d’immortalisation : Travail, Œuvre, Action, 316 – Les remèdes à la fragilité des affaires humaines, 322 CHAPITRE IV : PENSER L'AMÉRIQUE, 327 « Penser l’événement », 328 Une population hétérogène, 328 – La chasse aux communistes, 329 – L’image de l’Amérique, 331 – La question noire, 333 – La « paix froide et inquiète », 337 « Essai sur la révolution », 338 La fondation de la liberté, 340 – Le terme de « révolution », 341 – Une « bonne » et une « mauvaise » révolution ?, 343 – « Politique et Révolution », 346 « Du mensonge à la violence », 349 Politique et mensonge, 349 – « La désobéissance civile », 351 – Le problème de la violence, 355 – Épilogue, 361 CHAPITRE V : PENSER, 364 La Vie de l'esprit », 364 Tome I : La pensée, 364 Le besoin de penser, 367 – La phénoménologie de l’apparence, 368 – Au pays des invisibles, 369 – Le langage des invisibles : la métaphore, 371 – Ce qui nous fait penser, 372 – Où est-on quand on pense ?, 375 Tome II : Le vouloir, 377 La découverte de la volonté, 378 – L’amour chez Augustin, 380 – La préséance de l’Intellect sur la Volonté : saint Thomas, 383 – Les « trouvailles » de Duns Scot, 385 – Lecture de Nietzsche, 387 – Heidegger et la Volonté de ne pas vouloir, 389 Tome III : Juger, 394 Les étapes de la pensée d’Arendt sur le Juger, 395 – Un choix paradoxal ?, 396 – La troisième Critique de Kant, 398 – Le paradoxe du jugement et la solution de l’énigme, 400 TROISIÈME PARTIE – ANNEXES Repères biographiques, 405 Bibliographie, 407 Index des noms cités, 429 4° de Couverture : Hannah Arendt est l'une des figures majeures de la pensée contemporaine car elle a su analyser, avec une grande acuité, les événements tragiques de l’histoire politique moderne - révolution, impérialisme, totalitarisme, antisémitisme - et les prises de conscience qu’ils suscitent. Depuis sa formation exceptionnelle auprès des plus éminents penseurs allemands de ce siècle (Jaspers, Husserl, Heidegger, Jonas) jusqu’aux ultimes développements de sa pensée, Sylvie Courtine-Denamy décrit avec beaucoup de clarté l’itinéraire hors pair de cette personnalité attachante. Une vie et une œuvre qui nous introduisent au cœur du monde présent. Sylvie Courtine-Denamy est docteur en philosophie. Elle a traduit de nombreux ouvrages de l'anglais et de l’allemand dont deux volumes d’Hannah Arendt : La Tradition cachée et Auschwitz et Jérusalem. Hannah Arendt [texte imprimé] / Sylvie Courtine-Denamy, Auteur . - Hachette Littératures, 1994 . - 454 pages. - (Pluriel) . ISBN : 978-2-01-278886-2 Langues : Français (fre) Sommaire : PREMIÈRE PARTIE – IDENTITÉ ET MÉMOIRE Prologue : 17 Femini generis : « Vive la petite différence! », 19 CHAPITRE I : DAS MÄDCHEN AUS DER FREMDE, 23 Allemande ?, 23 L’« essence allemande » : le débat avec Jaspers avant guerre, 23 – L’ignorance du problème juif dans l’Allemagne d'après-guerre, 24 – La question du retour : la « reconnaissance » et la langue, 26 – Le « sel de la terre » et l’acosmisme, 27. America ! America !, 32 Une langue, un métier, un statut, 32 – Une nationalité, 34 – Premières impressions d’Amérique, 36 – Le « rêve américain » de la prospérité, 37 – Kennedy : l'espoir, 38 – Agitation étudiante et guerre du Vietnam, 40 Juive, 42 Les données familiales, 44 – Rahel : « un portrait du peintre » ?, 46 – L’engagement sioniste, 49 – Theodor Herzl, 50 – Bernard Lazare, 53 – Kurt Blumenfeld, 59 CHAPITRE II : ZAKHOR !, 67 Le devoir de mémoire, 67 L’oubli de Yahvé ?, 67 – L'oubli des Juifs au lendemain de la guerre, 70 – La « Résistance » allemande : les critères d’Arendt, 73 Responsabilité et repentir, 77 Le cas Heidegger, 77 La culpabilité allemande, 85 Les quatre formes de culpabilité distinguées par Jaspers, 85 – La réception du livre de Jaspers, 87 – La polémique autour de Thomas Mann, 88 – La responsabilité selon Arendt, 96 – RDA et RFA : le « refoulement » de la question juive, 98 – La disproportion entre crime et châtiment, 100 Le procès Eichmann, 102 Les motivations d'Arendt, 102 – L'atmosphère du procès : premières impressions, 104 – Les réactions à la publication, 104 – La « banalité du mal », 109 – Les reproches sur le « ton » : la « haine de soi » ?, 112 – Le Vicaire de Hochhuth : le rôle de l’Église catholique pendant la guerre, 115 Les dangers de la mémoire, 117 Le débat des historiens : une mémoire « vaine » ?, 118 – Les échos de la controverse en France, 121 CHAPITRE III : LA QUESTION DU « MÉTIER », 123 Nulle part ?, 123 – L’ambivalence à l’égard de la « théorie politique » : la pensée et l'action, 125 – La déformation professionnelle, 133 – Théorie politique contre philosophie politique, 136 – Les dangers de la philosophie, 138 – Le « retour » à la pensée : « s’exposer au vent de la chose », 143 – Une « sorte de phénoménologue » ?, 147 – La pêche aux perles et aux coraux, 152 DEUXIÈME PARTIE – PARCOURS DE L’ŒUVRE Prologue : Penser l’amour, 157 Le Concept d'amour chez saint Augustin, 157 – La soutenance de thèse d'Arendt et le rapport de Jaspers, 157 – Une interprétation philosophique d'Augustin, 159 – L’amour comme désir, 160 – Créateur-créature, 161 – La vie en société, 162 – Le choix d’Augustin, 163 CHAPITRE I : PENSER LE JUDAÏSME, 166 « Rahel Varnhagen, La vie d'une juive allemande à l'époque du romantisme », 168 L'atmosphère des salons berlinois, 168 – Le piège de l’assimilation, 169 « La tradition cachée », 173 Perversité de l'Aufklärung, 174 – Le choix : paria ou parvenu, 175 – L’acosmisme du paria, 177 – Le paria conscient, 178 « Auschwitz et Jérusalem », 180 Comprendre Auschwitz, 180 – La passion déjuger, 181 – Lutter pour devenir un « peuple », 182 – Juifs et Arabes, 184 – Les critiques d'Arendt à l'égard du sionisme, 186 – L’acosmisme des sionistes ?, 188 « Penser l'événement », 189 Faut-il avoir honte aujourd'hui d'être Allemand ?, 190 – Le « caractère national » allemand, 192 – Description d'un cauchemar, 194 – « Juger par soi-même », 197 « Eichmann à Jérusalem », 200 Une arrestation illégale ?, 200 – Un tribunal illégitime ?, 201 – L'objet du procès ?, 201 – Le déroulement du procès, 203 – L’accusé, 204 – Le verdict, 207 – L'échec du procès de Jérusalem, 208 – L’objet du livre et ses répercussions, page ? CHAPITRE II : PENSER LE TOTALITARISME, 213 « Sur l'antisémitisme », 213 Le mythe de la conspiration judéo-maçonnique, 214 – Aux sources de 1'anti-sémitisme moderne, 216 – L'Affaire Dreyfus, 219 « L'impérialisme », 223 Le moteur de l’expansion impérialiste, 223 – Naissance de la pensée raciale, 224 – L’impuissance des Droits de l’Homme, 225 « Le système totalitaire », 227 Les conditions de la rédaction, 227 – La réception du livre, 229 – La finalité du livre : comprendre, 235 – La « nouveauté » du totalitarisme, 239 – La perte du sens commun, 246 – Les camps de concentration : le « mal radical » ?, 247 CHAPITRE III : PENSER LA MODERNITÉ, 250 « La Crise de la culture », 250 La tradition et l’âge moderne, 253 – Le concept d’histoire antique et moderne, 255 – Qu'est-ce que l’autorité ?, 258 – Qu’est-ce que la liberté ?, 262 – La crise de l’éducation, 266 – La crise de la culture. Sa portée sociale et politique, 270 – Vérité et Politique, 273 – La conquête de l'espace et la dimension de l’homme, 275 « Vies politiques », 276 Figures de l'humanitas, 277 – Conteurs et poètes, 285 – La « pasionaria », 287 – Les « penseurs poétiques », 292 – Un style nouveau, 294 – Littérature et engagement, 296 – L’expérience de la mort, 298 – Brecht et la « génération perdue », 301 – Poésie et politique, 302 – Méconnaissance de Walter Benjamin, 306 – L’engagement marxiste, 308 – Le suicide de Benjamin, 309 « La condition de l'homme moderne », 312 Vita Activa, 313 – La fidélité aux Grecs, 315 – Le désir d’immortalisation : Travail, Œuvre, Action, 316 – Les remèdes à la fragilité des affaires humaines, 322 CHAPITRE IV : PENSER L'AMÉRIQUE, 327 « Penser l’événement », 328 Une population hétérogène, 328 – La chasse aux communistes, 329 – L’image de l’Amérique, 331 – La question noire, 333 – La « paix froide et inquiète », 337 « Essai sur la révolution », 338 La fondation de la liberté, 340 – Le terme de « révolution », 341 – Une « bonne » et une « mauvaise » révolution ?, 343 – « Politique et Révolution », 346 « Du mensonge à la violence », 349 Politique et mensonge, 349 – « La désobéissance civile », 351 – Le problème de la violence, 355 – Épilogue, 361 CHAPITRE V : PENSER, 364 La Vie de l'esprit », 364 Tome I : La pensée, 364 Le besoin de penser, 367 – La phénoménologie de l’apparence, 368 – Au pays des invisibles, 369 – Le langage des invisibles : la métaphore, 371 – Ce qui nous fait penser, 372 – Où est-on quand on pense ?, 375 Tome II : Le vouloir, 377 La découverte de la volonté, 378 – L’amour chez Augustin, 380 – La préséance de l’Intellect sur la Volonté : saint Thomas, 383 – Les « trouvailles » de Duns Scot, 385 – Lecture de Nietzsche, 387 – Heidegger et la Volonté de ne pas vouloir, 389 Tome III : Juger, 394 Les étapes de la pensée d’Arendt sur le Juger, 395 – Un choix paradoxal ?, 396 – La troisième Critique de Kant, 398 – Le paradoxe du jugement et la solution de l’énigme, 400 TROISIÈME PARTIE – ANNEXES Repères biographiques, 405 Bibliographie, 407 Index des noms cités, 429 4° de Couverture : Hannah Arendt est l'une des figures majeures de la pensée contemporaine car elle a su analyser, avec une grande acuité, les événements tragiques de l’histoire politique moderne - révolution, impérialisme, totalitarisme, antisémitisme - et les prises de conscience qu’ils suscitent. Depuis sa formation exceptionnelle auprès des plus éminents penseurs allemands de ce siècle (Jaspers, Husserl, Heidegger, Jonas) jusqu’aux ultimes développements de sa pensée, Sylvie Courtine-Denamy décrit avec beaucoup de clarté l’itinéraire hors pair de cette personnalité attachante. Une vie et une œuvre qui nous introduisent au cœur du monde présent. Sylvie Courtine-Denamy est docteur en philosophie. Elle a traduit de nombreux ouvrages de l'anglais et de l’allemand dont deux volumes d’Hannah Arendt : La Tradition cachée et Auschwitz et Jérusalem.

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L'individu incertain / Alain Ehrenberg

Public ISBD Titre : L'individu incertain Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain Ehrenberg, Auteur Editeur : Hachette Littératures Année de publication : 1999 Collection : Pluriel Importance : 354 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-01-278964-7 Langues : Français (fre) Sommaire : L’individu en France ou la responsabilité incertaine. Anatomie d’une question, 13 Entre aventure entrepreneuriale et dépression nerveuse : la charnière des années 80, 15. — Division du social et division du sujet : la décomposition du modèle politique français et la question de l’individu, 20. — Subjectivité et responsabilité : vers une société de désinhibition, 23. — Pour une anthropologie critique de la démocratie, 25. Première partie SISTER MORPHINE ET MISS PROZAC, 31 Les drogues, condensateurs des incertitudes de la responsabilité, 37 1. La guerre à l’intérieur de soi, 41 Alcool public, drogue privée : Le grand partage entre ivresse et santé absolue, 42 L’invention d'un univers de sensations identitaires, 42. — Le lubrifiant de la sociabilité populaire, 48. Victimes du produit et victimes de soi-même, 53 La douleur. le confort et le vice, 54. — Secousse consommatoire et pathologie de la volonté, 58. Les techniques de soi entre indétermination démocratique et procès de civilisation, 63 2. Abstinence et République, 69 L 628, une loi réactionnaire ?, 71 Feeling : une imagerie américaine dans l’histoire française, 75 Fumeurs de joints contre épaves à whisky, 78. La privacy française, 80 De l’anti-individualisme..., 80. — ...aux saturnales de la vie privée, 84. — Le bien-être : vie personnelle ou vie collective ?, 88. La diffusion d’un fléau social, 92 Clinique, droit pénal et République, 96 Une justice thérapeutique ?, 98. — Une loi républicaine, 102. 3. Troubles dans l ’humeur, 107 Le procès français de la méthadone, 111 Qu’est-ce qu’un substitué ?, 121 Psychic-building : l’individu comme mode d’action et l’extension de la notion de drogue, 124 La grande transformation, 125. — Les dépendances confortables, 127. — Les tensions de l’héroïne et du cannabis, 129. L’individu handicapé ou l’au-delà du normal et du pathologique, 133 De la dépendance au produit à la dépendance au corps, 133. — Le Prozac, mythe de la drogue parfaite, 141. — Le psychotique est-il un modèle d'avenir ?, 151. Penser la distance à soi, 154 La confusion des lois, le palliatif et la justice, 157. Deuxième partie LA TELEVISION, TERMINAL RELATIONNEL, 166 4. Le spectacle de réalité, 175 Mutations dans le divertissement et le populaire, 176 Querelles dans la télévision, 178. — L'accès à l’image : du mérite de quelques-uns au droit de chacun, 182. Le mythe de la parole parfaite, 186 La généralisation du témoignage de vie, 187. — La synthèse de l’assistance et du romanesque, 192. Les trois traits de l’authenticité, 195 La valeur de l’exemple, 196. — L’héroïsation du quelconque, 198. — L’entreprise de services relationnels, 200. 5. Entre robinet à images et médiation technique, 207 Le téléspectateur entre élève, citoyen et consommateur, 209 Le symbole de la culture commerciale, 212. — La télévision, l'opinion et l’action, 216. — Communiquer les qualités privées de l'homme politique, 219. La diffusion du conseil de vie : de la recette pratique à la responsabilité de soi, 222 Le dialogue, condition du bonheur, 224. — Public et privé : flexibilités et déchirures, 229. L’électronisation de la relation, 233 Une pièce maîtresse, l’interactivité, 234. — Abondance relationnelle, 239 Le téléspectateur imaginé et la publicisation de l’homme privé, 241 6. Le terminal relationnel, 247 La question de L’Amour en danger : « Suis-je normal ? », 249 Femmes et hommes, comment devenir des individus ?, 253 — Intimité communiquée/intériorité représentée, 258. La réponse de Bas les masques : « Je suis normal », 263 Montrer un projet en chacun, 264. — Une solidarité d'individu à individu. 270. Cyberespace, new age électronique, 274 Trop de programmes. moins de télé ?, 275. — Machines à relations : de l’objet hiérarchique à l’objet médiateur, 277. — Machines à sensations : le moi est un territoire électronique. 286. Terminal relationnel, représentation et communication : fusion des images, 294 La distance qui fait lien : politique et individualisme, 303 Frontières imprécises et distances incertaines, 304. — La désinhibition et la modification du contrat social. 307. Notes, 315 4° de Couverture : L’individu est aujourd'hui amené à assumer des responsabilités croissantes : la politique semble perdre son monopole de prise en charge collective des destins individuels, la vie privée n’est plus structurée par des règles stables et des rapports d'autorité. L'estime de soi et la disponibilité à autrui deviennent des atouts majeurs. La subjectivité envahit donc la place publique et investit largement la technique, qu’elle soit pharmacologique (drogues illicites, tranquillisants, antidépresseurs) ou électronique (interactivité, reality-shows, cyberespace). La restauration de la sensation de soi que procure le psychotrope et la mise en scène de soi qu’amplifie la télévision sont révélatrices des tensions de nos sociétés, écartelées entre la conquête et la souffrance. Nous sommes entrés dans l’âge de l’individu incertain. Alain Ehrenberg, sociologue, est chercheur au CETSAH, co-directeur du Groupement de recherche « Psychotropes, Politique, Société » au CNRS. Ces mythologies de l’individu souffrant font suite à celles de l’individu conquérant (Le Culte de la performance, Hachette Littératures, coll. Pluriel, 1996). L'individu incertain [texte imprimé] / Alain Ehrenberg, Auteur . - Hachette Littératures, 1999 . - 354 pages. - (Pluriel) . ISBN : 978-2-01-278964-7 Langues : Français (fre) Sommaire : L’individu en France ou la responsabilité incertaine. Anatomie d’une question, 13 Entre aventure entrepreneuriale et dépression nerveuse : la charnière des années 80, 15. — Division du social et division du sujet : la décomposition du modèle politique français et la question de l’individu, 20. — Subjectivité et responsabilité : vers une société de désinhibition, 23. — Pour une anthropologie critique de la démocratie, 25. Première partie SISTER MORPHINE ET MISS PROZAC, 31 Les drogues, condensateurs des incertitudes de la responsabilité, 37 1. La guerre à l’intérieur de soi, 41 Alcool public, drogue privée : Le grand partage entre ivresse et santé absolue, 42 L’invention d'un univers de sensations identitaires, 42. — Le lubrifiant de la sociabilité populaire, 48. Victimes du produit et victimes de soi-même, 53 La douleur. le confort et le vice, 54. — Secousse consommatoire et pathologie de la volonté, 58. Les techniques de soi entre indétermination démocratique et procès de civilisation, 63 2. Abstinence et République, 69 L 628, une loi réactionnaire ?, 71 Feeling : une imagerie américaine dans l’histoire française, 75 Fumeurs de joints contre épaves à whisky, 78. La privacy française, 80 De l’anti-individualisme..., 80. — ...aux saturnales de la vie privée, 84. — Le bien-être : vie personnelle ou vie collective ?, 88. La diffusion d’un fléau social, 92 Clinique, droit pénal et République, 96 Une justice thérapeutique ?, 98. — Une loi républicaine, 102. 3. Troubles dans l ’humeur, 107 Le procès français de la méthadone, 111 Qu’est-ce qu’un substitué ?, 121 Psychic-building : l’individu comme mode d’action et l’extension de la notion de drogue, 124 La grande transformation, 125. — Les dépendances confortables, 127. — Les tensions de l’héroïne et du cannabis, 129. L’individu handicapé ou l’au-delà du normal et du pathologique, 133 De la dépendance au produit à la dépendance au corps, 133. — Le Prozac, mythe de la drogue parfaite, 141. — Le psychotique est-il un modèle d'avenir ?, 151. Penser la distance à soi, 154 La confusion des lois, le palliatif et la justice, 157. Deuxième partie LA TELEVISION, TERMINAL RELATIONNEL, 166 4. Le spectacle de réalité, 175 Mutations dans le divertissement et le populaire, 176 Querelles dans la télévision, 178. — L'accès à l’image : du mérite de quelques-uns au droit de chacun, 182. Le mythe de la parole parfaite, 186 La généralisation du témoignage de vie, 187. — La synthèse de l’assistance et du romanesque, 192. Les trois traits de l’authenticité, 195 La valeur de l’exemple, 196. — L’héroïsation du quelconque, 198. — L’entreprise de services relationnels, 200. 5. Entre robinet à images et médiation technique, 207 Le téléspectateur entre élève, citoyen et consommateur, 209 Le symbole de la culture commerciale, 212. — La télévision, l'opinion et l’action, 216. — Communiquer les qualités privées de l'homme politique, 219. La diffusion du conseil de vie : de la recette pratique à la responsabilité de soi, 222 Le dialogue, condition du bonheur, 224. — Public et privé : flexibilités et déchirures, 229. L’électronisation de la relation, 233 Une pièce maîtresse, l’interactivité, 234. — Abondance relationnelle, 239 Le téléspectateur imaginé et la publicisation de l’homme privé, 241 6. Le terminal relationnel, 247 La question de L’Amour en danger : « Suis-je normal ? », 249 Femmes et hommes, comment devenir des individus ?, 253 — Intimité communiquée/intériorité représentée, 258. La réponse de Bas les masques : « Je suis normal », 263 Montrer un projet en chacun, 264. — Une solidarité d'individu à individu. 270. Cyberespace, new age électronique, 274 Trop de programmes. moins de télé ?, 275. — Machines à relations : de l’objet hiérarchique à l’objet médiateur, 277. — Machines à sensations : le moi est un territoire électronique. 286. Terminal relationnel, représentation et communication : fusion des images, 294 La distance qui fait lien : politique et individualisme, 303 Frontières imprécises et distances incertaines, 304. — La désinhibition et la modification du contrat social. 307. Notes, 315 4° de Couverture : L’individu est aujourd'hui amené à assumer des responsabilités croissantes : la politique semble perdre son monopole de prise en charge collective des destins individuels, la vie privée n’est plus structurée par des règles stables et des rapports d'autorité. L'estime de soi et la disponibilité à autrui deviennent des atouts majeurs. La subjectivité envahit donc la place publique et investit largement la technique, qu’elle soit pharmacologique (drogues illicites, tranquillisants, antidépresseurs) ou électronique (interactivité, reality-shows, cyberespace). La restauration de la sensation de soi que procure le psychotrope et la mise en scène de soi qu’amplifie la télévision sont révélatrices des tensions de nos sociétés, écartelées entre la conquête et la souffrance. Nous sommes entrés dans l’âge de l’individu incertain. Alain Ehrenberg, sociologue, est chercheur au CETSAH, co-directeur du Groupement de recherche « Psychotropes, Politique, Société » au CNRS. Ces mythologies de l’individu souffrant font suite à celles de l’individu conquérant (Le Culte de la performance, Hachette Littératures, coll. Pluriel, 1996).

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101068	AUTR	Livre	Etagères de la Maison de la psychanalyse	Autres auteurs (AUTR)	Exclu du prêt

Jalousies / Denise Lachaud

Public ISBD Titre : Jalousies Type de document : texte imprimé Auteurs : Denise Lachaud, Auteur Editeur : Hachette Littératures Année de publication : 2000 Collection : Pluriel Importance : 194 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-01-278967-8 Langues : Français (fre) Sommaire : POUR INTRODUIRE LES JALOUSIES, 17 CHAPITRE 1 : Sources d'une émotion , 31 CHAPITRE 2 : La jalousie et son interprétation, 79 CHAPITRE 3 : Jalousie et sexuation, 93 CHAPITRE 4 : Je suis jaloux de vous ; je vous aime, 101 CHAPITRE 5 : La jalousie fait femme, 109 CHAPITRE 6 : Démon de jalousies, 133 CHAPITRE 7 : Une jouissance de l'écrit, 145 CHAPITRE 8 : Et la cure, 153 Sources, 175 Index des noms propres, 181 Index analytique, 185 4° de Couverture : La jalousie se rencontre-t-elle plus souvent chez les hommes que chez les femmes? Peut-on croire, à l'instar de Freud, qu'elle est « normale » ou délirante, comme en témoignerait le mécanisme de projection qui en serait le fondement ? Mélanie Klein et Lacan l'ont montré: la jalousie n'est pas l'envie. Celle-ci consume le sujet qui en est la proie, tel le jeune saint Augustin pâlissant devant le spectacle de son jeune frère pendu au sein de sa mère. Détruire cette complétude, se détruire, faute de pouvoir ravir à l'autre la jouissance de la mère, de l'Un. La jalousie passe par l'identification à l'autre et suppose un tiers. Mais, comme l'amour, elle ignore la différence des sexes. C'est par une réflexion sur la théorie psychanalytique de cet affect et sur les cas de sa clinique que Denise Lachaud nous conduit à en envisager la fonction structurale et l'incidence décisive dans la clinique, comme dans l'existence des sujets. D'un sentiment qui passe si souvent pour faiblesse, faute ou passion, elle relève aussi la portée créatrice, à la lisière de l'imaginaire et du symbolique. Bien plus, dépassant les résistances des analystes eux-mêmes, elle en rectifie l'approche en soulignant qu'il faut penser non pas la mais les jalousies. Denise Lachaud est psychanalyste et assure des enseignements de psychopathologie et de clinique psychanalytique à l’université de Picardie Jules-Verne. Elle a publié La Jouissance du pouvoir. De la mégalomanie chez Hachette Littératures en 1998. Couverture : création Khéops et Ass. Illustration : Théodore Géricault (1791-1824), Scène de jalousie, dessin sur papier bleu, Bayonne, Musée Bonnat Jalousies [texte imprimé] / Denise Lachaud, Auteur . - Hachette Littératures, 2000 . - 194 pages. - (Pluriel) . ISBN : 978-2-01-278967-8 Langues : Français (fre) Sommaire : POUR INTRODUIRE LES JALOUSIES, 17 CHAPITRE 1 : Sources d'une émotion , 31 CHAPITRE 2 : La jalousie et son interprétation, 79 CHAPITRE 3 : Jalousie et sexuation, 93 CHAPITRE 4 : Je suis jaloux de vous ; je vous aime, 101 CHAPITRE 5 : La jalousie fait femme, 109 CHAPITRE 6 : Démon de jalousies, 133 CHAPITRE 7 : Une jouissance de l'écrit, 145 CHAPITRE 8 : Et la cure, 153 Sources, 175 Index des noms propres, 181 Index analytique, 185 4° de Couverture : La jalousie se rencontre-t-elle plus souvent chez les hommes que chez les femmes? Peut-on croire, à l'instar de Freud, qu'elle est « normale » ou délirante, comme en témoignerait le mécanisme de projection qui en serait le fondement ? Mélanie Klein et Lacan l'ont montré: la jalousie n'est pas l'envie. Celle-ci consume le sujet qui en est la proie, tel le jeune saint Augustin pâlissant devant le spectacle de son jeune frère pendu au sein de sa mère. Détruire cette complétude, se détruire, faute de pouvoir ravir à l'autre la jouissance de la mère, de l'Un. La jalousie passe par l'identification à l'autre et suppose un tiers. Mais, comme l'amour, elle ignore la différence des sexes. C'est par une réflexion sur la théorie psychanalytique de cet affect et sur les cas de sa clinique que Denise Lachaud nous conduit à en envisager la fonction structurale et l'incidence décisive dans la clinique, comme dans l'existence des sujets. D'un sentiment qui passe si souvent pour faiblesse, faute ou passion, elle relève aussi la portée créatrice, à la lisière de l'imaginaire et du symbolique. Bien plus, dépassant les résistances des analystes eux-mêmes, elle en rectifie l'approche en soulignant qu'il faut penser non pas la mais les jalousies. Denise Lachaud est psychanalyste et assure des enseignements de psychopathologie et de clinique psychanalytique à l’université de Picardie Jules-Verne. Elle a publié La Jouissance du pouvoir. De la mégalomanie chez Hachette Littératures en 1998. Couverture : création Khéops et Ass. Illustration : Théodore Géricault (1791-1824), Scène de jalousie, dessin sur papier bleu, Bayonne, Musée Bonnat

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La mort dans les yeux / Jean-Pierre Vernant

Public ISBD Titre : La mort dans les yeux : Figures de l'Autre en Grèce ancienne Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Pierre Vernant, Auteur Editeur : Hachette Littératures Année de publication : 1998 Collection : Pluriel Importance : 130 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-01-278894-7 Langues : Français (fre) Sommaire : Introduction, 11 Artémis ou les frontières de l’Autre, 15 Des marges au monstrueux, 25 Le masque de Gorgô, 31 Une face de terreur, 39 La flûte et le masque. La danse d’Hadès, 55 Les déesses-têtes, 65 La mort dans les yeux, 75 Dialogue avec Pierre Kahn, 83 Notes, 109 Table des illustrations, 117 4° de Couverture : Pourquoi le masque de la Gorgone doit-il pétrifier celui qui le regarde ? Et pourquoi son expression grotesque et terrible porte-t-elle la mort dans les yeux ? Dans la Grèce antique, certaines puissances divines - Gorgô, mais aussi Artémis et Dionysos - expriment ainsi l’angoisse qui naît des inquiétantes étrangetés dont s’accompagnent les passages de la civilisation à la sauvagerie, de l’enfance à l’état adulte, de la vie à la mort. C’est dans cet effroi que se pose, pour toute une culture, la question de l’autre et de ses métamorphoses. Jean-Pierre Vernant est professeur honoraire au Collège de France, où il a occupé jusqu’en 1984 la chaire d’Etudes comparées des religions antiques. La mort dans les yeux : Figures de l'Autre en Grèce ancienne [texte imprimé] / Jean-Pierre Vernant, Auteur . - Hachette Littératures, 1998 . - 130 pages. - (Pluriel) . ISBN : 978-2-01-278894-7 Langues : Français (fre) Sommaire : Introduction, 11 Artémis ou les frontières de l’Autre, 15 Des marges au monstrueux, 25 Le masque de Gorgô, 31 Une face de terreur, 39 La flûte et le masque. La danse d’Hadès, 55 Les déesses-têtes, 65 La mort dans les yeux, 75 Dialogue avec Pierre Kahn, 83 Notes, 109 Table des illustrations, 117 4° de Couverture : Pourquoi le masque de la Gorgone doit-il pétrifier celui qui le regarde ? Et pourquoi son expression grotesque et terrible porte-t-elle la mort dans les yeux ? Dans la Grèce antique, certaines puissances divines - Gorgô, mais aussi Artémis et Dionysos - expriment ainsi l’angoisse qui naît des inquiétantes étrangetés dont s’accompagnent les passages de la civilisation à la sauvagerie, de l’enfance à l’état adulte, de la vie à la mort. C’est dans cet effroi que se pose, pour toute une culture, la question de l’autre et de ses métamorphoses. Jean-Pierre Vernant est professeur honoraire au Collège de France, où il a occupé jusqu’en 1984 la chaire d’Etudes comparées des religions antiques.

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Sans domicile fixe / Hubert Prolongeau

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Singulière ethnie / Fernand Deligny

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Traces d'être et bâtisse d'ombre / Fernand Deligny

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Violences urbaines / Nicole Le Guennec ; Christian Bachmann

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