Titre : |
Post-scriptum sur l'insignifiance |
Titre original : |
Entretiens avec Daniel Mermet |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Cornelius Castoriadis, Auteur ; Daniel Mermet, Intervieweur |
Editeur : |
Editions de l'aube |
Année de publication : |
1998 |
Collection : |
Monde en cours / intervention |
Importance : |
42 pages |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-87678-435-2 |
Langues : |
Français (fre) |
4° de Couverture : |
« Il manque la voix de Cornélius Castoriadis. Il manque cette jubilation dans sa voix en répétant : "Nous qui désirons ou nous qui délirons ?", il manque le pont Bir Hakeim et le métro aérien par la fenêtre, il manque la lumière de la Seine de ce matin de novembre 1996 (...)
Face aux brouilleurs de piste et à la fausse complexité, espérant tout de l'imaginaire social, jusqu'au bout Cornélius Castoriadis cherche une radicalité. "Je suis un révolutionnaire favorable à des changements radicaux", disait-il quelques semaines avant sa mort.
Révolutionnaire qui sa vie durant allait répétant : "Nous ne philosophons pas pour sauver la révolution, mais pour sauver notre pensée et notre cohérence. "
Mais on ne peut réduire Cornélius Castoriadis à un seul registre. Philosophe, sociologue, historien, il fut aussi économiste et psychanalyste, "Un titan de la pensée, énorme, hors norme", dit Edgar Morin. Une pensée encyclopédique, une jubilation de vivre et de lutter, lutte charnelle, spirituelle, infinie, mais en mouvement et qui laisse du grain à moudre et du pain sur la planche...»
Daniel Mermet
Là-bas si j'y suis, France Inter
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Post-scriptum sur l'insignifiance = Entretiens avec Daniel Mermet [texte imprimé] / Cornelius Castoriadis, Auteur ; Daniel Mermet, Intervieweur . - Editions de l'aube, 1998 . - 42 pages. - ( Monde en cours / intervention) . ISBN : 978-2-87678-435-2 Langues : Français ( fre)
4° de Couverture : |
« Il manque la voix de Cornélius Castoriadis. Il manque cette jubilation dans sa voix en répétant : "Nous qui désirons ou nous qui délirons ?", il manque le pont Bir Hakeim et le métro aérien par la fenêtre, il manque la lumière de la Seine de ce matin de novembre 1996 (...)
Face aux brouilleurs de piste et à la fausse complexité, espérant tout de l'imaginaire social, jusqu'au bout Cornélius Castoriadis cherche une radicalité. "Je suis un révolutionnaire favorable à des changements radicaux", disait-il quelques semaines avant sa mort.
Révolutionnaire qui sa vie durant allait répétant : "Nous ne philosophons pas pour sauver la révolution, mais pour sauver notre pensée et notre cohérence. "
Mais on ne peut réduire Cornélius Castoriadis à un seul registre. Philosophe, sociologue, historien, il fut aussi économiste et psychanalyste, "Un titan de la pensée, énorme, hors norme", dit Edgar Morin. Une pensée encyclopédique, une jubilation de vivre et de lutter, lutte charnelle, spirituelle, infinie, mais en mouvement et qui laisse du grain à moudre et du pain sur la planche...»
Daniel Mermet
Là-bas si j'y suis, France Inter
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