Titre : |
Wittgenstein : Philosophie, logique, thérapeutique |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Grahame Lock, Auteur |
Editeur : |
Presses universitaires de France (PUF) |
Année de publication : |
1992 |
Collection : |
Philosophies num. 36 |
Importance : |
130 pages |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-13-044308-7 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Sommaire : |
Préface, 5
L'idée fondamentale du Tractatus
- Wittgenstein, Russell et les constantes logiques, 8
- Une Vérité logique « se fait », 15
- La forme générale de la proposition, 28
- L’objet est simple, 33
La logique et les limites de la pensée
- Logique et forme du monde, 42
- Dire et faire voir, 54
- Logique et philosophie, 62
Secondes pensées
- Propositions atomiques et systèmes de propositions, 67
- Le rôle de la philosophie, 73
Intermède : Wittgenstein et la phénoménologie
- Wittgenstein et Husserl, 75
- Le concept de sujet, 88
Les « Investigations philosophiques »
- Langage réel et idéal, 91
- Jeux et ressemblances, 93
- Sensations et « langage privé », 99
- La « lutte contre le langage », 108
Philosophie et thérapeutique
- Ce que la philosophie n’est pas, 110
- Explication, 112
- Thérapeutique, 118 |
4° de Couverture : |
Ce livre a pour seule ambition de faire comprendre quelque chose de la pensée de Ludwig Wittgenstein et de sa conception de la tâche de la philosophie conçue comme une « thérapie » censée guérir certaines « maladies de l’esprit ».
Le fait que Wittgenstein soit venu à la philosophie par le biais de réflexions sur la logique et les mathématiques est important à cet égard. Mais ce même Wittgenstein, ami de Bertrand Russell et de John Maynard Keynes, professeurs à l’Université de Cambridge, ne fut pourtant jamais un universitaire typique. Qui plus est, sa pensée ne cadre point avec les théories et les problématiques caractéristiques de la philosophie contemporaine. Cela n’aurait d’ailleurs guère étonné Wittgenstein lui-même, qui se moquait des modes et des vogues intellectuelles, qui tenait notre siècle de progrès pour un âge de l’Unkultur et qui ne rédigeait ses pensées que « pour quelques amis dispersés aux quatre coins du monde ». |
Wittgenstein : Philosophie, logique, thérapeutique [texte imprimé] / Grahame Lock, Auteur . - Presses universitaires de France (PUF), 1992 . - 130 pages. - ( Philosophies; 36) . ISBN : 978-2-13-044308-7 Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
Sommaire : |
Préface, 5
L'idée fondamentale du Tractatus
- Wittgenstein, Russell et les constantes logiques, 8
- Une Vérité logique « se fait », 15
- La forme générale de la proposition, 28
- L’objet est simple, 33
La logique et les limites de la pensée
- Logique et forme du monde, 42
- Dire et faire voir, 54
- Logique et philosophie, 62
Secondes pensées
- Propositions atomiques et systèmes de propositions, 67
- Le rôle de la philosophie, 73
Intermède : Wittgenstein et la phénoménologie
- Wittgenstein et Husserl, 75
- Le concept de sujet, 88
Les « Investigations philosophiques »
- Langage réel et idéal, 91
- Jeux et ressemblances, 93
- Sensations et « langage privé », 99
- La « lutte contre le langage », 108
Philosophie et thérapeutique
- Ce que la philosophie n’est pas, 110
- Explication, 112
- Thérapeutique, 118 |
4° de Couverture : |
Ce livre a pour seule ambition de faire comprendre quelque chose de la pensée de Ludwig Wittgenstein et de sa conception de la tâche de la philosophie conçue comme une « thérapie » censée guérir certaines « maladies de l’esprit ».
Le fait que Wittgenstein soit venu à la philosophie par le biais de réflexions sur la logique et les mathématiques est important à cet égard. Mais ce même Wittgenstein, ami de Bertrand Russell et de John Maynard Keynes, professeurs à l’Université de Cambridge, ne fut pourtant jamais un universitaire typique. Qui plus est, sa pensée ne cadre point avec les théories et les problématiques caractéristiques de la philosophie contemporaine. Cela n’aurait d’ailleurs guère étonné Wittgenstein lui-même, qui se moquait des modes et des vogues intellectuelles, qui tenait notre siècle de progrès pour un âge de l’Unkultur et qui ne rédigeait ses pensées que « pour quelques amis dispersés aux quatre coins du monde ». |
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