Titre : |
La mémoire inquiète : Il y a cinquante ans: le ghetto de Varsovie |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Marek Halter, Auteur |
Editeur : |
Editions Robert Laffont |
Année de publication : |
1993 |
Importance : |
84 pages |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-221-07667-5 |
Langues : |
Français (fre) |
Sommaire : |
Amalek, 11
Le buisson ardent, 15
Un violent désir d’ancêtres, 17
L’oubli et la mort, 23
La nuit, 27
Le monde d’hier, 37
La parole foudroyée, 43
Kaddish, 47
Le journal d’Abraham, 51
Le doute de Jérémie, 61
La nuit d’après la nuit, 63
La mémoire naufragée, 67
Les archivistes du Dr Ringelblum, 71
Tzedek ou la banalité du bien, 75
Quelques ouvrages sur le ghetto de Varsovie, 79 |
4° de Couverture : |
A chaque époque, un événement singulier, ou le souvenir d’un événement singulier, nous amène à découvrir un nouvel aspect de la condition humaine, nous contraignant à nous redéfinir face à l’amour, à la mort, à autrui. Cet événement, le destin me l’a fait connaître dès ma tendre enfance : l’anéantissement d’un monde. Le mien. Certes, je n’étais pas seul à l’habiter, et personne ne m’a chargé d’en cultiver le souvenir. Personne, sauf ma conscience. |
La mémoire inquiète : Il y a cinquante ans: le ghetto de Varsovie [texte imprimé] / Marek Halter, Auteur . - Editions Robert Laffont, 1993 . - 84 pages. ISBN : 978-2-221-07667-5 Langues : Français ( fre)
Sommaire : |
Amalek, 11
Le buisson ardent, 15
Un violent désir d’ancêtres, 17
L’oubli et la mort, 23
La nuit, 27
Le monde d’hier, 37
La parole foudroyée, 43
Kaddish, 47
Le journal d’Abraham, 51
Le doute de Jérémie, 61
La nuit d’après la nuit, 63
La mémoire naufragée, 67
Les archivistes du Dr Ringelblum, 71
Tzedek ou la banalité du bien, 75
Quelques ouvrages sur le ghetto de Varsovie, 79 |
4° de Couverture : |
A chaque époque, un événement singulier, ou le souvenir d’un événement singulier, nous amène à découvrir un nouvel aspect de la condition humaine, nous contraignant à nous redéfinir face à l’amour, à la mort, à autrui. Cet événement, le destin me l’a fait connaître dès ma tendre enfance : l’anéantissement d’un monde. Le mien. Certes, je n’étais pas seul à l’habiter, et personne ne m’a chargé d’en cultiver le souvenir. Personne, sauf ma conscience. |
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