Titre : |
Considérations morales |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Hannah Arendt, Auteur |
Editeur : |
Rivages poche |
Année de publication : |
1996 |
Collection : |
Petite Bibliothèque num. 181 |
Importance : |
98 pages |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7436-0049-5 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) |
Sommaire : |
Mary McCarthy, Pour dire au revoir à Hannah, 7
Considérations morales, 25
Notes, 75 |
4° de Couverture : |
Est-ce que notre aptitude à juger, à distinguer le bien du mal, le beau du laid, est dépendante de notre faculté de penser ?
Tant d’années après le procès Eichmann, Hannah Arendt revient dans ce bref essai, écrit en 1970, à la
question du mal. Eichmann n’était ni monstrueux ni démoniaque, et la seule caractéristique décelable dans son passé comme dans son comportement durant le procès et l’interrogatoire était un fait négatif : ce n’était pas de la stupidité mais une extraordinaire superficialité. Une curieuse et authentique inaptitude à penser.
La question que Hannah Arendt pose est : l’activité de penser en elle-même, l’habitude de tout examiner et de réfléchir à tout ce qui arrive, sans égard au contenu spécifique, et sans souci des conséquences, cette activité peut-elle être de nature telle qu’elle conditionne les hommes à ne pas faire le mal ?
Est-ce que le désastreux manque de ce que nous nommons conscience n’est pas finalement qu’une inaptitude à penser ?
Précédé d’un essai de Mary McCarthy |
Considérations morales [texte imprimé] / Hannah Arendt, Auteur . - Rivages poche, 1996 . - 98 pages. - ( Petite Bibliothèque; 181) . ISBN : 978-2-7436-0049-5 Langues : Français ( fre) Langues originales : Anglais ( eng)
Sommaire : |
Mary McCarthy, Pour dire au revoir à Hannah, 7
Considérations morales, 25
Notes, 75 |
4° de Couverture : |
Est-ce que notre aptitude à juger, à distinguer le bien du mal, le beau du laid, est dépendante de notre faculté de penser ?
Tant d’années après le procès Eichmann, Hannah Arendt revient dans ce bref essai, écrit en 1970, à la
question du mal. Eichmann n’était ni monstrueux ni démoniaque, et la seule caractéristique décelable dans son passé comme dans son comportement durant le procès et l’interrogatoire était un fait négatif : ce n’était pas de la stupidité mais une extraordinaire superficialité. Une curieuse et authentique inaptitude à penser.
La question que Hannah Arendt pose est : l’activité de penser en elle-même, l’habitude de tout examiner et de réfléchir à tout ce qui arrive, sans égard au contenu spécifique, et sans souci des conséquences, cette activité peut-elle être de nature telle qu’elle conditionne les hommes à ne pas faire le mal ?
Est-ce que le désastreux manque de ce que nous nommons conscience n’est pas finalement qu’une inaptitude à penser ?
Précédé d’un essai de Mary McCarthy |
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