Titre : |
Ambiguïtés sexuelles : Sexuation et psychose |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Geneviève Morel, Auteur |
Editeur : |
Anthropos |
Année de publication : |
2000 |
Collection : |
Psychanalyse |
Importance : |
312 pages |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-7178-3926-5 |
Langues : |
Français (fre) |
Sommaire : |
Introduction, 7
PREMIÈRE PARTIE – LA PSYCHANALYSE ET LE RÉEL
I – Le sexe pour la science et pour la psychanalyse, 17
Il n'y a pas de rapport sexuel, 18 – Qui est le père de qui ?, 20 – La sexualité des lézards, 23 – Le champ de la jouissance, 25 – Le réel biologique, 28 – Le réel comme impossible, 29 – Un mythe de la détumescence et de la naissance du langage, 35 – La cause et le masque, 36
II – La reproduction et la mort : le sujet entre médecine et psychanalyse, 39
L'enfant comme objet a, 39 – L'enfant martyr et le fils préféré, 42 – Le réel, le symbolique, l'imaginaire et le « sinthome », 43 – L'invention d’une nouvelle relation : être le fils préféré d'un père, 47 – La reproduction et l'inconscient, 49 – Ce qui nous attire sexuellement vers un autre, 51 – Le sujet et la mort, 53 – Le point suprême de la jouissance, 54 – L'entre-deux discours de la médecine et de la psychanalyse, 59 – Premier exemple : l'enfant interchangeable, 59 – Deuxième exemple : une répétition inexorable, 61 – Troisième exemple : « je suis un thon », 63
DEUXIÈME PARTIE – LA DIFFÉRENCE DES SEXES
III – Sexuation : la pensée classificatrice n'épuise pas la question, 69
Critique du genre, 70 – Remarques sur une théorie anthropologique de la différence sexuelle, 73 – Les oppositions signifiantes et la différence des sexes, 75 – Le semblable et le miroir, 75 – Le différent et le signifiant, 76 – La différence des sexes et l'altérité, 78 – Freud et l'organe génital féminin, 79 – La naissance de l'opposition signifiante, d'après Freud, 80 – Les causes de la misogynie, 81 – Surmonter le complexe de castration ?, 82 – L'horreur de L'Autre, 84 – Professeur de désir, 85 – La différence anatomique et le savoir, 88 – Questions et réponses, 89 – Comparaison de deux mythes, 90 – Perception et Vérité, 91 – Réfutation du « tout-phallique » infantile, 92 – La persistance du phallus de la mère, 93 – Le cas Sandy : la petite fille, sa mère et le chien, 95 – Résumé de l'observation, 95 – Les moments cruciaux, 97 – Un cas paradigmatique de la névrose féminine ?, 99 – Le « butoir ultime de la pensée » est le fantasme, 100
IV – Fonction phallique, fonction symptôme, 105
La sexuation, au-delà des identifications, 105 – Une sexuation centrée sur « le mauvais », 106 – Une classification sexuelle, 107 – L'équivoque du signifiant « mauvais », 107 – Jésus, le signifiant inclassable, 109 – Le défaut du phallus, 109 – Labilité des identités sexuelles, 110 – La fonction phallique, 111 – Avoir le phallus, 112 – Être le phallus, 113 – Pourquoi la « phrase à trous » de Frege ?, 116 – Valeur positive de la fonction phallique : jouir de la castration, 116 – Le phallus comme fonction propositionnelle, 120 – Valeur négative de la fonction phallique : castration et
renoncements, 122 – La fonction symptôme, 124 – Le délire de Schreber, 128 – « Un enfant est battu », 129 – Le cas Maria : un destin, une phrase, 132 – La spoliation originaire, 132 – Férocité, 133 – Son mariage avec « Monsieur », 133 – Acheter une maison, 134 – Écriture de la fonction symptôme, 136 – Contingence et déterminisme, 138
V – Les trois temps de la sexuation, 141
La différence anatomique naturelle et le discours sexuel, 143 – L'erreur commune sur le phallus, 144 – « Non » psychotique ou « Oui » aporétique ?, 146 – La sexuation (ou choix du sexe), 148 – Pourquoi deux sexes ?, 148 – Côté homme : « tout » et contradiction, 152 – Côté femme : le « pas-tout » contre la symétrie, 154 – Le dédoublement de la jouissance féminine, 161 – Miriam, face au vide, 162 – « Autre jouissance » et "jouissance de l'Autre"..., 164 – Une figure de discours du pas-tout, le discordantiel..., 168 – Le Prince travesti, 170 – Objection mâle et discordance féminine, 171 – Retour sur l'anatomie analytique, 172
VI – Sexes contredits, 175
Le cas d'Iqallijuq : quand le discours contrarie la nature, 176 – Un troisième sexe ?, 177 – Un cas de Fairbairn : les raisons d'un pousse-à-l'homme, 179 – Éveil sexuel dans l'analyse, 181 – N'avoir pas de vagin et désirer un pénis, 183 – Un raisonnement anatomique, 184 – Un set d'identifications, 185 – Un cas « neutre » de Stoller, 187 – De la nécessité de différencier trois moments de la sexuation, 190
TROISIÈME PARTIE – SEXUATION ET PSYCHOSE
VII – Le transsexualisme et la classification sexuelle, 195 – Raisons d'un refus de l'organe, 195 – Un cas de transsexualisme féminin : une sexuation imaginaire, 200 – Une rencontre, une image, une décision, 200 – Matrice de la sexuation et trauma, 202 – Le père, la loi, l'anatomie, 204 – Regards de femmes, 206 – L'amour, pas la jouissance, 208 – La preuve d'amour par le pénis, 208 – Transvestisme, vérité, transfert, 210 – Une réalisation imaginaire de la vérité, 210 – « Paraître, c'est être », 211 – Le transvestisme comme symptôme, 212 – Un cas de transsexualisme masculin « contrarié » : deux types d'identification sexuée, 214 – Déclenchement, 216 – Miroir féminin et aspiration virile, 217 – Le choix de Sophie, 218 – Le rêve du mur de Berlin, 219 – Rêve de la femme monstrueuse, 219 – Rêve de la benne à ordures, 219 – Rêve du mur de Berlin, 220 – Rêves de classification, 221 – L'identification « classifiante », 221 – Trois modes de construction de la sexuation dans la psychose, 224
VIII – Le pousse-à-la-femme, 227 – Comment s'y retrouver ?, 227 – Deux orientations de la jouissance, 228 – Deux objections, 231 – Le concept du « pousse-à-la-femme », 234 – Le Séminaire sur La « Lettre volée » : Lacan, Poe et Lévi-Strauss, 234 – La reine, hors-la-loi, 235 – La « question préliminaire » : les mots de Schreber..., 236 – Entmannung et Verweiblichung, 236 – « L'Étourdit » : la « logique » du pousse-à-la-femme..., 239 – L'inexistence, 241 – Un effet sardonique, 246 – L'irruption d'Un-père, 248
IX – Pousse-à-la-femme et clinique de la sexuation, 253 – Le pousse-à-la-femme contre le noyau d'identité de genre, 253 – L'endroit et l'envers du pousse-à-la-femme, 256 – Le cas d'Eisa : Athéna et Arachné ou le pousse-à-la- femme et la pulsion de mort, 258 – Mélancolie et paranoïa, 258 – L'abolition du nom propre, 260 – La pulsion de mort, 262 – Un pousse-à-la-femme très localisé dans un cas de schizophrénie, 263 – Feu !, 263 – Passages à l'acte en série, 263 – « Je me suis fait un con d'air », 265 – Inverser le chaud en froid, 266 – Trois énonciations, 267 – Les femmes et le sexe, 268 – Une féminisation locale qui permet d'être un homme, 269 – Faire sinthome du pousse-à-la-femme, 271 – Lettres d'amour, 271
L'homme (???), 272
« Je suis celle des lettres », 273 – Disjoindre l'adresse et la jouissance, 275 – Les soubassements d'un dédoublement de la vie amoureuse, 278 – Une petite fille ?, 279 – Un tyran domestique, 280 –
Liens sociaux, 280 – Le pousse-à-la-femme et l'identification sexuée, 282 – Conclusion, 285 –
Remerciements, 291 – Index, 293 – Index des cas cliniques, 301 |
4° de Couverture : |
La recherche ici entreprise prend sa source dans le suivi psychanalytique de sujets transsexualistes, ou souffrant d'autres troubles de l'identité sexuelle.
Comment devient-on homme ou femme ? Il s'agit de prendre au sérieux la difficulté de chacun à s'orienter dans ce que Lacan désigne comme « le champ de la jouissance ». D'une étude précise des thèses freudiennes et lacaniennes sur la différence sexuelle, on déduit des solutions aux apories de la gender theory et on tente une théorie de la sexuation, conçue comme un processus long et complexe pour les deux sexes. La réflexion se centre alors sur la problématique des psychoses. Le rejet de la signification phallique, spécifique à ces cas, amène certains sujets à inventer un support inédit à leur sexuation. Une tendance à la féminisation y joue souvent un rôle éminent. Plusieurs cas cliniques sont élaborés dans ce cadre. Que dire de la position de l'analyste quand il est confronté à une demande de transformation corporelle ? Quelles différentes stratégies transférentielles peut-il adopter ? Comment évaluer la résolution de la cure et ses effets thérapeutiques ?
Montrer en quoi la clinique psychanalytique des psychoses éclaire l'ambiguïté sexuelle et en tirer les conséquences pour la sexuation, tel est le but de ce livre.
Geneviève Morel est psychanalyste à Paris et à Lille. Ancienne élève de l'Ecole normale supérieure et agrégée de mathématiques, elle est chargée de cours au département de Paris VIII. |
Ambiguïtés sexuelles : Sexuation et psychose [texte imprimé] / Geneviève Morel, Auteur . - Anthropos, 2000 . - 312 pages. - ( Psychanalyse) . ISBN : 978-2-7178-3926-5 Langues : Français ( fre)
Sommaire : |
Introduction, 7
PREMIÈRE PARTIE – LA PSYCHANALYSE ET LE RÉEL
I – Le sexe pour la science et pour la psychanalyse, 17
Il n'y a pas de rapport sexuel, 18 – Qui est le père de qui ?, 20 – La sexualité des lézards, 23 – Le champ de la jouissance, 25 – Le réel biologique, 28 – Le réel comme impossible, 29 – Un mythe de la détumescence et de la naissance du langage, 35 – La cause et le masque, 36
II – La reproduction et la mort : le sujet entre médecine et psychanalyse, 39
L'enfant comme objet a, 39 – L'enfant martyr et le fils préféré, 42 – Le réel, le symbolique, l'imaginaire et le « sinthome », 43 – L'invention d’une nouvelle relation : être le fils préféré d'un père, 47 – La reproduction et l'inconscient, 49 – Ce qui nous attire sexuellement vers un autre, 51 – Le sujet et la mort, 53 – Le point suprême de la jouissance, 54 – L'entre-deux discours de la médecine et de la psychanalyse, 59 – Premier exemple : l'enfant interchangeable, 59 – Deuxième exemple : une répétition inexorable, 61 – Troisième exemple : « je suis un thon », 63
DEUXIÈME PARTIE – LA DIFFÉRENCE DES SEXES
III – Sexuation : la pensée classificatrice n'épuise pas la question, 69
Critique du genre, 70 – Remarques sur une théorie anthropologique de la différence sexuelle, 73 – Les oppositions signifiantes et la différence des sexes, 75 – Le semblable et le miroir, 75 – Le différent et le signifiant, 76 – La différence des sexes et l'altérité, 78 – Freud et l'organe génital féminin, 79 – La naissance de l'opposition signifiante, d'après Freud, 80 – Les causes de la misogynie, 81 – Surmonter le complexe de castration ?, 82 – L'horreur de L'Autre, 84 – Professeur de désir, 85 – La différence anatomique et le savoir, 88 – Questions et réponses, 89 – Comparaison de deux mythes, 90 – Perception et Vérité, 91 – Réfutation du « tout-phallique » infantile, 92 – La persistance du phallus de la mère, 93 – Le cas Sandy : la petite fille, sa mère et le chien, 95 – Résumé de l'observation, 95 – Les moments cruciaux, 97 – Un cas paradigmatique de la névrose féminine ?, 99 – Le « butoir ultime de la pensée » est le fantasme, 100
IV – Fonction phallique, fonction symptôme, 105
La sexuation, au-delà des identifications, 105 – Une sexuation centrée sur « le mauvais », 106 – Une classification sexuelle, 107 – L'équivoque du signifiant « mauvais », 107 – Jésus, le signifiant inclassable, 109 – Le défaut du phallus, 109 – Labilité des identités sexuelles, 110 – La fonction phallique, 111 – Avoir le phallus, 112 – Être le phallus, 113 – Pourquoi la « phrase à trous » de Frege ?, 116 – Valeur positive de la fonction phallique : jouir de la castration, 116 – Le phallus comme fonction propositionnelle, 120 – Valeur négative de la fonction phallique : castration et
renoncements, 122 – La fonction symptôme, 124 – Le délire de Schreber, 128 – « Un enfant est battu », 129 – Le cas Maria : un destin, une phrase, 132 – La spoliation originaire, 132 – Férocité, 133 – Son mariage avec « Monsieur », 133 – Acheter une maison, 134 – Écriture de la fonction symptôme, 136 – Contingence et déterminisme, 138
V – Les trois temps de la sexuation, 141
La différence anatomique naturelle et le discours sexuel, 143 – L'erreur commune sur le phallus, 144 – « Non » psychotique ou « Oui » aporétique ?, 146 – La sexuation (ou choix du sexe), 148 – Pourquoi deux sexes ?, 148 – Côté homme : « tout » et contradiction, 152 – Côté femme : le « pas-tout » contre la symétrie, 154 – Le dédoublement de la jouissance féminine, 161 – Miriam, face au vide, 162 – « Autre jouissance » et "jouissance de l'Autre"..., 164 – Une figure de discours du pas-tout, le discordantiel..., 168 – Le Prince travesti, 170 – Objection mâle et discordance féminine, 171 – Retour sur l'anatomie analytique, 172
VI – Sexes contredits, 175
Le cas d'Iqallijuq : quand le discours contrarie la nature, 176 – Un troisième sexe ?, 177 – Un cas de Fairbairn : les raisons d'un pousse-à-l'homme, 179 – Éveil sexuel dans l'analyse, 181 – N'avoir pas de vagin et désirer un pénis, 183 – Un raisonnement anatomique, 184 – Un set d'identifications, 185 – Un cas « neutre » de Stoller, 187 – De la nécessité de différencier trois moments de la sexuation, 190
TROISIÈME PARTIE – SEXUATION ET PSYCHOSE
VII – Le transsexualisme et la classification sexuelle, 195 – Raisons d'un refus de l'organe, 195 – Un cas de transsexualisme féminin : une sexuation imaginaire, 200 – Une rencontre, une image, une décision, 200 – Matrice de la sexuation et trauma, 202 – Le père, la loi, l'anatomie, 204 – Regards de femmes, 206 – L'amour, pas la jouissance, 208 – La preuve d'amour par le pénis, 208 – Transvestisme, vérité, transfert, 210 – Une réalisation imaginaire de la vérité, 210 – « Paraître, c'est être », 211 – Le transvestisme comme symptôme, 212 – Un cas de transsexualisme masculin « contrarié » : deux types d'identification sexuée, 214 – Déclenchement, 216 – Miroir féminin et aspiration virile, 217 – Le choix de Sophie, 218 – Le rêve du mur de Berlin, 219 – Rêve de la femme monstrueuse, 219 – Rêve de la benne à ordures, 219 – Rêve du mur de Berlin, 220 – Rêves de classification, 221 – L'identification « classifiante », 221 – Trois modes de construction de la sexuation dans la psychose, 224
VIII – Le pousse-à-la-femme, 227 – Comment s'y retrouver ?, 227 – Deux orientations de la jouissance, 228 – Deux objections, 231 – Le concept du « pousse-à-la-femme », 234 – Le Séminaire sur La « Lettre volée » : Lacan, Poe et Lévi-Strauss, 234 – La reine, hors-la-loi, 235 – La « question préliminaire » : les mots de Schreber..., 236 – Entmannung et Verweiblichung, 236 – « L'Étourdit » : la « logique » du pousse-à-la-femme..., 239 – L'inexistence, 241 – Un effet sardonique, 246 – L'irruption d'Un-père, 248
IX – Pousse-à-la-femme et clinique de la sexuation, 253 – Le pousse-à-la-femme contre le noyau d'identité de genre, 253 – L'endroit et l'envers du pousse-à-la-femme, 256 – Le cas d'Eisa : Athéna et Arachné ou le pousse-à-la- femme et la pulsion de mort, 258 – Mélancolie et paranoïa, 258 – L'abolition du nom propre, 260 – La pulsion de mort, 262 – Un pousse-à-la-femme très localisé dans un cas de schizophrénie, 263 – Feu !, 263 – Passages à l'acte en série, 263 – « Je me suis fait un con d'air », 265 – Inverser le chaud en froid, 266 – Trois énonciations, 267 – Les femmes et le sexe, 268 – Une féminisation locale qui permet d'être un homme, 269 – Faire sinthome du pousse-à-la-femme, 271 – Lettres d'amour, 271
L'homme (???), 272
« Je suis celle des lettres », 273 – Disjoindre l'adresse et la jouissance, 275 – Les soubassements d'un dédoublement de la vie amoureuse, 278 – Une petite fille ?, 279 – Un tyran domestique, 280 –
Liens sociaux, 280 – Le pousse-à-la-femme et l'identification sexuée, 282 – Conclusion, 285 –
Remerciements, 291 – Index, 293 – Index des cas cliniques, 301 |
4° de Couverture : |
La recherche ici entreprise prend sa source dans le suivi psychanalytique de sujets transsexualistes, ou souffrant d'autres troubles de l'identité sexuelle.
Comment devient-on homme ou femme ? Il s'agit de prendre au sérieux la difficulté de chacun à s'orienter dans ce que Lacan désigne comme « le champ de la jouissance ». D'une étude précise des thèses freudiennes et lacaniennes sur la différence sexuelle, on déduit des solutions aux apories de la gender theory et on tente une théorie de la sexuation, conçue comme un processus long et complexe pour les deux sexes. La réflexion se centre alors sur la problématique des psychoses. Le rejet de la signification phallique, spécifique à ces cas, amène certains sujets à inventer un support inédit à leur sexuation. Une tendance à la féminisation y joue souvent un rôle éminent. Plusieurs cas cliniques sont élaborés dans ce cadre. Que dire de la position de l'analyste quand il est confronté à une demande de transformation corporelle ? Quelles différentes stratégies transférentielles peut-il adopter ? Comment évaluer la résolution de la cure et ses effets thérapeutiques ?
Montrer en quoi la clinique psychanalytique des psychoses éclaire l'ambiguïté sexuelle et en tirer les conséquences pour la sexuation, tel est le but de ce livre.
Geneviève Morel est psychanalyste à Paris et à Lille. Ancienne élève de l'Ecole normale supérieure et agrégée de mathématiques, elle est chargée de cours au département de Paris VIII. |
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