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Titre : Argent et psychanalyse Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Martin, Auteur Editeur : Navarin Année de publication : 1984 Collection : Bibliothèque des Analytica Importance : 210 pages Langues : Français (fre) Sommaire : Avant propos, 7
Exorde
LA PLACE DE L’ARGENT DANS LA PSYCHANALYSE ?, 11
I - Sur la genèse de la forme monétaire, 19
II - La plus-value, signifiant de la jouissance ?, 31
III - Un signifiant primordial, 39
IV - La chose et le fétiche, 47
V - Indétermination de la chose, 59
VI - Ce que l'argent doit à la mort, 67
VII - Du déni de la castration, 79
VIII - De la place vide du sujet de l'énonciation, 89
IX - De l'angoisse : Regard sur le meurtre du père, 101
X - « Il n'est de travail qu'à fonds perdu… », 109
XI - Le travail, trace du désir, 117
XII - Le semblant, raison du contrat, 127
XIII - Le geste du paiement, 141
XIV - Le fantasme du « lien », 155
XV - Valeur d'échange ?, 167
Péroraison
Etre né de quelqu'un, 187
Lettre de Jacques Lacan à Pierre Martin, 1984° de Couverture : Le peu que la littérature analytique consent à la fonction sémiologique de l'argent, c'est aux déplacements de l'équivalent général des marchandises qu'elle l'accorde. Et les significations que le patient et l'analyste confèrent à la monnaie font, dans cette littérature, le tour imaginaire des organes et des fonctions du corps ; des institutions et des « systèmes » de l'économie politique.
Il est surprenant que l'une et l'autre de ces théories: argent, langage de l'institution, et argent, simulacre d'organes, en vérité recoupées l'une par l'autre dans le discours des patients, aient méconnu un signifiant corporel : le geste qui articule l'acte du paiement à sa représentation. Par l' « entre mise » de l'argent, se réalise la médiation du corps et du langage.
Dans l'acte analytique, la portée signifiante du geste réitératif du paiement tient, bien sûr, à la scansion du discours, à chaque « levée, de séance, et à ceci encore d'être le seul geste à impliquer dans la relation analytique quelque chose de réel.
Si "pacare" signifie pacifier, au long de la cure, le paiement n'est pas la paie, pour aucune paix. Il incarne la coupure u d'un autre à l'Autre » et, dans le.fantasme du meurtre du Père, relance le désir ; à la limite du fantasme, il ouvre sur l'insignifiable : le réel.
Médecin des hôpitaux psychiatriques de 1946 à 1973, et chargé de cours à la faculté des lettres de Montpellier de 1962 à 1973,Pierre MARTIN, analyste de l'École freudienne de Paris, membre de son conseil d'administration, a été appelé par Jacques Lacan au conseil de l'École de la Cause freudienne, dont il a été le président en 1981-1982.Argent et psychanalyse [texte imprimé] / Pierre Martin, Auteur . - Navarin, 1984 . - 210 pages. - (Bibliothèque des Analytica) .
Langues : Français (fre)
Sommaire : Avant propos, 7
Exorde
LA PLACE DE L’ARGENT DANS LA PSYCHANALYSE ?, 11
I - Sur la genèse de la forme monétaire, 19
II - La plus-value, signifiant de la jouissance ?, 31
III - Un signifiant primordial, 39
IV - La chose et le fétiche, 47
V - Indétermination de la chose, 59
VI - Ce que l'argent doit à la mort, 67
VII - Du déni de la castration, 79
VIII - De la place vide du sujet de l'énonciation, 89
IX - De l'angoisse : Regard sur le meurtre du père, 101
X - « Il n'est de travail qu'à fonds perdu… », 109
XI - Le travail, trace du désir, 117
XII - Le semblant, raison du contrat, 127
XIII - Le geste du paiement, 141
XIV - Le fantasme du « lien », 155
XV - Valeur d'échange ?, 167
Péroraison
Etre né de quelqu'un, 187
Lettre de Jacques Lacan à Pierre Martin, 1984° de Couverture : Le peu que la littérature analytique consent à la fonction sémiologique de l'argent, c'est aux déplacements de l'équivalent général des marchandises qu'elle l'accorde. Et les significations que le patient et l'analyste confèrent à la monnaie font, dans cette littérature, le tour imaginaire des organes et des fonctions du corps ; des institutions et des « systèmes » de l'économie politique.
Il est surprenant que l'une et l'autre de ces théories: argent, langage de l'institution, et argent, simulacre d'organes, en vérité recoupées l'une par l'autre dans le discours des patients, aient méconnu un signifiant corporel : le geste qui articule l'acte du paiement à sa représentation. Par l' « entre mise » de l'argent, se réalise la médiation du corps et du langage.
Dans l'acte analytique, la portée signifiante du geste réitératif du paiement tient, bien sûr, à la scansion du discours, à chaque « levée, de séance, et à ceci encore d'être le seul geste à impliquer dans la relation analytique quelque chose de réel.
Si "pacare" signifie pacifier, au long de la cure, le paiement n'est pas la paie, pour aucune paix. Il incarne la coupure u d'un autre à l'Autre » et, dans le.fantasme du meurtre du Père, relance le désir ; à la limite du fantasme, il ouvre sur l'insignifiable : le réel.
Médecin des hôpitaux psychiatriques de 1946 à 1973, et chargé de cours à la faculté des lettres de Montpellier de 1962 à 1973,Pierre MARTIN, analyste de l'École freudienne de Paris, membre de son conseil d'administration, a été appelé par Jacques Lacan au conseil de l'École de la Cause freudienne, dont il a été le président en 1981-1982.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100111 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt
Titre : Le contre-transfert Type de document : texte imprimé Auteurs : Paula Heimann, Auteur ; Annie Reich, Auteur ; Lucia Tower, Auteur ; Little Margaret, Auteur Editeur : Navarin Année de publication : 1987 Collection : Bibliothèque des Analytica Importance : 146 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86827-051-1 Langues : Français (fre) Sommaire : Présentation, 7
I – Paula Heimann, À propos du contre-transfert, 23
II – Margaret Little, Le contre-transfert et la réponse qu’y apporte le patient, 30
III – Margaret Little, ‘R’ – la réponse totale de l'analyste aux besoins de son patient, 48
IV – Annie Reich, Sur le contre-transfert, 77
V – Annie Reich, Quelques remarques supplémentaires sur le contre-transfert, 90
VI – Annie Reich, Empathie et contre-transfert, 101
VII – Lucia Tower, Contre-transfert, 1134° de Couverture : Un patient dont la mère est récemment décédée, doit donner à la radio une conférence sur un sujet qui intéresse – il le sait – son analyste. Il lui en donne le texte à lire et le psychanalyste, en effet, écoute l’émission. En raison de la mort de sa mère, le patient se sent peu disposé à prononcer cette conférence, mais il ne peut l’annuler. Le lendemain, il arrive à sa séance dans un état d’angoisse et de confusion extrêmes. Son analyste, qui est certainement un homme d’expérience, lui interprète aussitôt cette souffrance. Cette interprétation « aurait pu être correcte », note Margaret Little. Elle se révélera complètement fausse, le psychanalyste ayant attribué à son patient un sentiment de jalousie... qui n’était autre que le sien.
C’est par ce récit que commence le Contre-transfert et la réponse qu’y apporte le patient, l’un des sept textes que recueille ce volume. Ecrits dans les années cinquante et soixante" par quatre femmes, quatre psychanalystes de langue anglaise, ils firent date dans l’histoire de la psychanalyse. Sur ce thème du contre-transfert dont Freud disait qu’« il compte parmi les plus "complexes" de la pratique analytique, et auquel Lacan, qui en critiqua l’usage, associa le terme de « piège ».Le contre-transfert [texte imprimé] / Paula Heimann, Auteur ; Annie Reich, Auteur ; Lucia Tower, Auteur ; Little Margaret, Auteur . - Navarin, 1987 . - 146 pages. - (Bibliothèque des Analytica) .
ISBN : 978-2-86827-051-1
Langues : Français (fre)
Sommaire : Présentation, 7
I – Paula Heimann, À propos du contre-transfert, 23
II – Margaret Little, Le contre-transfert et la réponse qu’y apporte le patient, 30
III – Margaret Little, ‘R’ – la réponse totale de l'analyste aux besoins de son patient, 48
IV – Annie Reich, Sur le contre-transfert, 77
V – Annie Reich, Quelques remarques supplémentaires sur le contre-transfert, 90
VI – Annie Reich, Empathie et contre-transfert, 101
VII – Lucia Tower, Contre-transfert, 1134° de Couverture : Un patient dont la mère est récemment décédée, doit donner à la radio une conférence sur un sujet qui intéresse – il le sait – son analyste. Il lui en donne le texte à lire et le psychanalyste, en effet, écoute l’émission. En raison de la mort de sa mère, le patient se sent peu disposé à prononcer cette conférence, mais il ne peut l’annuler. Le lendemain, il arrive à sa séance dans un état d’angoisse et de confusion extrêmes. Son analyste, qui est certainement un homme d’expérience, lui interprète aussitôt cette souffrance. Cette interprétation « aurait pu être correcte », note Margaret Little. Elle se révélera complètement fausse, le psychanalyste ayant attribué à son patient un sentiment de jalousie... qui n’était autre que le sien.
C’est par ce récit que commence le Contre-transfert et la réponse qu’y apporte le patient, l’un des sept textes que recueille ce volume. Ecrits dans les années cinquante et soixante" par quatre femmes, quatre psychanalystes de langue anglaise, ils firent date dans l’histoire de la psychanalyse. Sur ce thème du contre-transfert dont Freud disait qu’« il compte parmi les plus "complexes" de la pratique analytique, et auquel Lacan, qui en critiqua l’usage, associa le terme de « piège ».Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100134 COLL Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Ouvrages collectifs (COLL) Exclu du prêt
Titre : Demain la psychanalyse Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel Silvestre, Auteur Editeur : Navarin Année de publication : 1987 Collection : Bibliothèque des Analytica Importance : 322 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-86827-048-1 Langues : Français (fre) Sommaire :
Jacques-Alain Miller, Avant-Propos, 9
Ouverture : Demain la psychanalyse, 13
I - DIRECTION DE LA CURE
La cure de l’hystérique, 39
Le transfert, 48
Le père, sa fonction dans la psychanalyse, 84
II - CAS CLINIQUES
Moments cruciaux, 115
Limite de la fonction paternelle, 119
Transfert et interprétation dans les psychoses, 125
Un psychotique en analyse, 134
L'aveu du fantasme, 140
L'interprétation de la demande, 146
III - LECTURES FREUDIENNES
Retour sur l’Œdipe, 155
Mise en cause de la sublimation, 179
La névrose infantile selon Freud, 201
IV - CRITIQUES
Les terreurs du psychanalyste, 215
Les objets du ressentiment, 221
L'ouvre-boîte universel, 225
La chute d'un cas, 228
Retour à Jung, 232
Psychanalystes et paradoxe temporel, 236
Vocation de la psychiatrie des années 80, 241
Naissance du cinéma parlant, 244
Drague fin de siècle, 250
L'économie d'un plat, 253
V - CONFÉRENCES
Le sentiment de culpabilité, 261
La fin de l'analyse, 270
A quoi sert un psychanalyste ?, 284
Sur l'amour, 285
A la rencontre du réel, 305
Repères bibliographiques, 315
4° de Couverture :
« Des élèves de Lacan, Michel Silvestre s'était révélé depuis quelques années le plus capable d'approfondir la théorie de la cure en mariant la lecture freudienne à la référence clinique. Il était armé pour engager le dialogue avec la vieille Internationale sur le terrain de celle-ci... Une pratique ample et diverse, confirmée auprès de Lacan, une érudition sûre, renouvelée par une constante curiosité, un jugement d'autant plus ferme que mesuré, toujours argumenté, une écriture aisée qui avait trouvé son régime — tout le désignait, au milieu de la quarantaine, pour marquer, au-delà même du cercle du Champ freudien, où une place lui était déjà reconnue au premier rang, le cours universel de la psychanalyse. »
Jacques-Alain Miller
Demain la psychanalyse [texte imprimé] / Michel Silvestre, Auteur . - Navarin, 1987 . - 322 pages. - (Bibliothèque des Analytica) .
ISBN : 978-2-86827-048-1
Langues : Français (fre)
Sommaire :
Jacques-Alain Miller, Avant-Propos, 9
Ouverture : Demain la psychanalyse, 13
I - DIRECTION DE LA CURE
La cure de l’hystérique, 39
Le transfert, 48
Le père, sa fonction dans la psychanalyse, 84
II - CAS CLINIQUES
Moments cruciaux, 115
Limite de la fonction paternelle, 119
Transfert et interprétation dans les psychoses, 125
Un psychotique en analyse, 134
L'aveu du fantasme, 140
L'interprétation de la demande, 146
III - LECTURES FREUDIENNES
Retour sur l’Œdipe, 155
Mise en cause de la sublimation, 179
La névrose infantile selon Freud, 201
IV - CRITIQUES
Les terreurs du psychanalyste, 215
Les objets du ressentiment, 221
L'ouvre-boîte universel, 225
La chute d'un cas, 228
Retour à Jung, 232
Psychanalystes et paradoxe temporel, 236
Vocation de la psychiatrie des années 80, 241
Naissance du cinéma parlant, 244
Drague fin de siècle, 250
L'économie d'un plat, 253
V - CONFÉRENCES
Le sentiment de culpabilité, 261
La fin de l'analyse, 270
A quoi sert un psychanalyste ?, 284
Sur l'amour, 285
A la rencontre du réel, 305
Repères bibliographiques, 315
4° de Couverture :
« Des élèves de Lacan, Michel Silvestre s'était révélé depuis quelques années le plus capable d'approfondir la théorie de la cure en mariant la lecture freudienne à la référence clinique. Il était armé pour engager le dialogue avec la vieille Internationale sur le terrain de celle-ci... Une pratique ample et diverse, confirmée auprès de Lacan, une érudition sûre, renouvelée par une constante curiosité, un jugement d'autant plus ferme que mesuré, toujours argumenté, une écriture aisée qui avait trouvé son régime — tout le désignait, au milieu de la quarantaine, pour marquer, au-delà même du cercle du Champ freudien, où une place lui était déjà reconnue au premier rang, le cours universel de la psychanalyse. »
Jacques-Alain Miller
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 103414 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt
Titre : Les fondements de la clinique : Histoire et structure du savoir psychiatrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Paul Bercherie, Auteur Editeur : Navarin Année de publication : 1980 Collection : Bibliothèque des Analytica Importance : 312 pages Langues : Français (fre) Sommaire : Préface de G. Lanteri-Laura, 7
Introduction, 15
I. Intérêt de l ’étude de l’histoire de la clinique psychiatrique pour la psychanalyse. Développement historique et extension spatiale de la clinique psychiatrique. Limites de ce travail, 15
II. 1) Clinique psychiatrique et clinique psychanalytique, 17
2) Conception épistémologique d’ensemble, 18
3) Principes de lecture, 19
Remerciements, 21
PREMIÈRE PARTIE. LA PREMIÈRE PSYCHIATRIE CLINIQUE : LES ESPÈCES DU GENRE FOLIE, 23
CH 1 — Pinel, 25
A. Les conceptions épistémologiques de Pinel : la doctrine des Idéologues, 25
B. Nature, situation nosologique, division de l ’Aliénation mentale, 28
C. Etiologie et physiopathologie de la Folie, 32
D. Le traitement de la Folie et l'institution soignante, 33
E. Pinel et l’anatomopathologie, 36
CH 2 — Esquirol, 40
A. Psychologie, Nosologie et Clinique chez Esquirol, 40
B. Nature, Causes, Traitement, Marche et terminaisons, Anatomie pathologique de la Folie, 45
CH 3 — La descendance d’Esquirol, 48
A. L’influence de la pensée médicale et de Gall : Anatomistes et Psychistes, 48
B. Georget : sa position intermédiaire dualiste. Nosologie : délire aigu et Stupidité. Conceptions des causes et du traitement de la Folie proprement dite, 50
C. L’héritage de Georget :folies aigues et folies chroniques, 53
D. Nosologie et psychopathologie des élèves d’Esquirol. Le problème de Fhallucination : automatisme psychologique et esthésie, 54
CH 4 — Guislain et Griesinger, 59
A. Les psychistes et les somatistes dans la psychiatrie allemande d’avant Griesinger, 59
B. Guislain: psychopathologie: la phrénalgie initiale. Nosologie, 60
C. Conceptions psychologiques de Griesinger : le psychisme comme activité du cerveau et le Moi. Métamorphose du Moi dans la Folie, 61
D. La nosologie de Griesinger : le cycle évolutif de la Folie, 64
DEUXIEME PARTIE — LES FONDEMENTS DE LA NOSOLOGIE CLASSIQUE, 69
CH 5 — La découverte de Bayle, 71
A. Evolution des diflpérentiations nosogiques avec Baillarger et Delasiauve, 7l
B. La conception de la paralysie générale et la nosologie de Bayle, 73
C. Originalité des conceptions de Bayle : l'entité clinico-évolutive, 75
D. L’acceptation progressive de la paralysie générale et son retentissement nosographique: Folies pures et Folies symptomatiques, 76
CH 6 — L'enseignement de J.-P. Falret, 30
A. Les trois périodes de la pensée de Falret : anatomique, physiologique, clinique, 80
B. Psychopathologie de Falret, les trois phases de la Folie, le rejet de la Monomanie, 81
C. Le projet d’une nouvelle nosologie et le démembrement des syndromes pinelliens. L’exemple de la paralysie générale et la controverse sur la Folie circulaire, 83
D. Lasègue : le délire des persécutions. Autres travaux, 86.
E. Falret fils : le démembrement des monomanies raisonnantes. Les Aliénés persécuteurs, 87
CH 7 — Morel, 93
A. Les conceptions nosologiques de Morel : la dimension étio-pathogénique, 93
I3. L'anthropologie de Morel et la théorie de la Dégénérescence : prédisposition et Folie, 95
C. Les espèces nosologiques de Morel. Les Folies héréditaires, 100
D. Les Folies névrosiques et les autres classes nosologiques, 103
CH 8 — Kahlbaum, 106
A. Le disciple de Falret : conceptions doctrinales, 106
B. La nosologie de Kahlbaum, 107
C. La description de la Catatonie, 110
TROISIEME PARTIE — LA PSYCHIATRIE CLASSIQUE : LA CLINIQUE DES MALADIES MENTALES, 113
CH 9 — Considérations générales, 115
A. Le rôle de modèle de la Neurologie, 115
B. Conceptions psychologiques généralement admises, 16
CH 10 — L’école d’Illenau, 119
A. La psychiatrie allemande pré-Kraepelinienne : l’influence de Morel; le problème de la Paranoïa, 119
B. Krafft-Ebing : les espèces constituants de sa nosologie, 121
C. Schule : nosologie et psychophysiologie, 124
D. Les conceptions nosologiques en Italie, 125
E. Caractères généraux de la clinique allemande pré-Kraepelinienne : permanence de la conception syndromique de la première période, 126
CH 11 — Magnan, 129
A. L'hystérie de Charcot. La classification de Magnan : les Etats mixtes, 129
B. Les psychoses non dégénératives. Le Délire Chronique, 130
.../...4° de Couverture : Le travail de Paul Bercherie présente une histoire de l’évolution des connaissances cliniques -en psychiatrie, qui analyse, depuis Pinel jusqu’à l’entourage d’Henri Claude, l’organisation progressive des démarches qui fondèrent peu à peu la clinique psychiatrique moderne et contemporaine. Ces précieuses recherches, centrées sur la contribution à la clinique psychiatrique des principales oeuvres des XIXe et XX° siècles, lues de près dans leurs textes originaux, dévoilent la genèse diachronique d’un certain état de la psychiatrie.
Or, cet état, c’est le moment où l’oeuvre de Freud vient occuper une certaine place dans ce champ de la psychiatrie.
Les effets de ce travail produisent alors un double éclaircissement : ils montrent ce qu’était la psychiatrie française et allemande au moment de la mise en place de la psychanalyse, et l’on croit trop souvent qu’elle n’était rien qu’abus et ténèbres ; mais ils établissent aussi quelles racines la psychanalyse trouvait dans la psychiatrie du premier tiers du XX° siècle, alors qu’on imagine communément la psychanalyse comme un commencement absolu – vision d’eschatologie plus que l’histoire.
Préface de Georges LANTÉRI-LAURA.
Les fondements de la clinique : Histoire et structure du savoir psychiatrique [texte imprimé] / Paul Bercherie, Auteur . - Navarin, 1980 . - 312 pages. - (Bibliothèque des Analytica) .
Langues : Français (fre)
Sommaire : Préface de G. Lanteri-Laura, 7
Introduction, 15
I. Intérêt de l ’étude de l’histoire de la clinique psychiatrique pour la psychanalyse. Développement historique et extension spatiale de la clinique psychiatrique. Limites de ce travail, 15
II. 1) Clinique psychiatrique et clinique psychanalytique, 17
2) Conception épistémologique d’ensemble, 18
3) Principes de lecture, 19
Remerciements, 21
PREMIÈRE PARTIE. LA PREMIÈRE PSYCHIATRIE CLINIQUE : LES ESPÈCES DU GENRE FOLIE, 23
CH 1 — Pinel, 25
A. Les conceptions épistémologiques de Pinel : la doctrine des Idéologues, 25
B. Nature, situation nosologique, division de l ’Aliénation mentale, 28
C. Etiologie et physiopathologie de la Folie, 32
D. Le traitement de la Folie et l'institution soignante, 33
E. Pinel et l’anatomopathologie, 36
CH 2 — Esquirol, 40
A. Psychologie, Nosologie et Clinique chez Esquirol, 40
B. Nature, Causes, Traitement, Marche et terminaisons, Anatomie pathologique de la Folie, 45
CH 3 — La descendance d’Esquirol, 48
A. L’influence de la pensée médicale et de Gall : Anatomistes et Psychistes, 48
B. Georget : sa position intermédiaire dualiste. Nosologie : délire aigu et Stupidité. Conceptions des causes et du traitement de la Folie proprement dite, 50
C. L’héritage de Georget :folies aigues et folies chroniques, 53
D. Nosologie et psychopathologie des élèves d’Esquirol. Le problème de Fhallucination : automatisme psychologique et esthésie, 54
CH 4 — Guislain et Griesinger, 59
A. Les psychistes et les somatistes dans la psychiatrie allemande d’avant Griesinger, 59
B. Guislain: psychopathologie: la phrénalgie initiale. Nosologie, 60
C. Conceptions psychologiques de Griesinger : le psychisme comme activité du cerveau et le Moi. Métamorphose du Moi dans la Folie, 61
D. La nosologie de Griesinger : le cycle évolutif de la Folie, 64
DEUXIEME PARTIE — LES FONDEMENTS DE LA NOSOLOGIE CLASSIQUE, 69
CH 5 — La découverte de Bayle, 71
A. Evolution des diflpérentiations nosogiques avec Baillarger et Delasiauve, 7l
B. La conception de la paralysie générale et la nosologie de Bayle, 73
C. Originalité des conceptions de Bayle : l'entité clinico-évolutive, 75
D. L’acceptation progressive de la paralysie générale et son retentissement nosographique: Folies pures et Folies symptomatiques, 76
CH 6 — L'enseignement de J.-P. Falret, 30
A. Les trois périodes de la pensée de Falret : anatomique, physiologique, clinique, 80
B. Psychopathologie de Falret, les trois phases de la Folie, le rejet de la Monomanie, 81
C. Le projet d’une nouvelle nosologie et le démembrement des syndromes pinelliens. L’exemple de la paralysie générale et la controverse sur la Folie circulaire, 83
D. Lasègue : le délire des persécutions. Autres travaux, 86.
E. Falret fils : le démembrement des monomanies raisonnantes. Les Aliénés persécuteurs, 87
CH 7 — Morel, 93
A. Les conceptions nosologiques de Morel : la dimension étio-pathogénique, 93
I3. L'anthropologie de Morel et la théorie de la Dégénérescence : prédisposition et Folie, 95
C. Les espèces nosologiques de Morel. Les Folies héréditaires, 100
D. Les Folies névrosiques et les autres classes nosologiques, 103
CH 8 — Kahlbaum, 106
A. Le disciple de Falret : conceptions doctrinales, 106
B. La nosologie de Kahlbaum, 107
C. La description de la Catatonie, 110
TROISIEME PARTIE — LA PSYCHIATRIE CLASSIQUE : LA CLINIQUE DES MALADIES MENTALES, 113
CH 9 — Considérations générales, 115
A. Le rôle de modèle de la Neurologie, 115
B. Conceptions psychologiques généralement admises, 16
CH 10 — L’école d’Illenau, 119
A. La psychiatrie allemande pré-Kraepelinienne : l’influence de Morel; le problème de la Paranoïa, 119
B. Krafft-Ebing : les espèces constituants de sa nosologie, 121
C. Schule : nosologie et psychophysiologie, 124
D. Les conceptions nosologiques en Italie, 125
E. Caractères généraux de la clinique allemande pré-Kraepelinienne : permanence de la conception syndromique de la première période, 126
CH 11 — Magnan, 129
A. L'hystérie de Charcot. La classification de Magnan : les Etats mixtes, 129
B. Les psychoses non dégénératives. Le Délire Chronique, 130
.../...4° de Couverture : Le travail de Paul Bercherie présente une histoire de l’évolution des connaissances cliniques -en psychiatrie, qui analyse, depuis Pinel jusqu’à l’entourage d’Henri Claude, l’organisation progressive des démarches qui fondèrent peu à peu la clinique psychiatrique moderne et contemporaine. Ces précieuses recherches, centrées sur la contribution à la clinique psychiatrique des principales oeuvres des XIXe et XX° siècles, lues de près dans leurs textes originaux, dévoilent la genèse diachronique d’un certain état de la psychiatrie.
Or, cet état, c’est le moment où l’oeuvre de Freud vient occuper une certaine place dans ce champ de la psychiatrie.
Les effets de ce travail produisent alors un double éclaircissement : ils montrent ce qu’était la psychiatrie française et allemande au moment de la mise en place de la psychanalyse, et l’on croit trop souvent qu’elle n’était rien qu’abus et ténèbres ; mais ils établissent aussi quelles racines la psychanalyse trouvait dans la psychiatrie du premier tiers du XX° siècle, alors qu’on imagine communément la psychanalyse comme un commencement absolu – vision d’eschatologie plus que l’histoire.
Préface de Georges LANTÉRI-LAURA.
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100157 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt
Titre : Freud anti-pédagogue Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Millot, Auteur Editeur : Navarin Année de publication : 1979 Collection : Bibliothèque des Analytica Importance : 184 pages Langues : Français (fre) Sommaire : Introduction, 7
I – SEXUALITÉ ET CIVILISATION
Avant-propos, 11
La morale sociale : parole interdite et répression sexuelle, 14
Lucifer-Amor, 19
Perversion et civilisation, 23
Les excès de la répression, 25
L'impossible jouissance, 34
II – ÉDUCATION ET DÉVELOPPEMENT
La sexualité infantile, 39
La critique freudienne de l'éducation, 44
Quelques propositions pour une éducation d'orientation analytique : le petit Hans, 49
Le Moi et la réalité, 57
Totem et tabou, 71
Le narcissisme, 83
III – LE RÉEL ET L'IDÉAL
La pulsion de mort et le réel, 99
L'éducation à la réalité, 104
Le malaise dans la civilisation, 113
IV – PSYCHANALYSE ET ÉDUCATION
Avant-propos, 125
Les critiques post-freudiennes, 128
Processus éducatif et processus psychanalytique, 133
L'analyse des enfants : psychanalyse ou pédagogie ?, 142
Une pédagogie analytique est-elle possible ?, 152
Conclusion, 167
Bibliographie, 1694° de Couverture : Quel est l'enseignement de ce livre ? C'est que le psychanalyste doit laisser la pédagogie au pédagogue, et que le pédagogue doit laisser la psychanalyse au psychanalyste.
On voudrait ici ruiner la suffisance des pédagogues, les démoraliser, puis les remettre dans leur axe, en leur apprenant qu'ils sont pris dans l'acte pédagogique.
Quant à la psychanalyse, elle n'a pas à servir de caution à la pédagogie molle. Le savoir de l'inconscient est un savoir qui ne sert de rien. Et c'est un savoir qui n'a pas de maître.
Si la castration est la maladie de l'être parlant, la psychanalyse enseigne que c'est une maladie incurable.
Ces thèses font l'objet d'une démonstration patiente, à travers une relecture de l'ensemble de l'oeuvre de Freud, guidée par l'enseignement de Jacques Lacan.Freud anti-pédagogue [texte imprimé] / Catherine Millot, Auteur . - Navarin, 1979 . - 184 pages. - (Bibliothèque des Analytica) .
Langues : Français (fre)
Sommaire : Introduction, 7
I – SEXUALITÉ ET CIVILISATION
Avant-propos, 11
La morale sociale : parole interdite et répression sexuelle, 14
Lucifer-Amor, 19
Perversion et civilisation, 23
Les excès de la répression, 25
L'impossible jouissance, 34
II – ÉDUCATION ET DÉVELOPPEMENT
La sexualité infantile, 39
La critique freudienne de l'éducation, 44
Quelques propositions pour une éducation d'orientation analytique : le petit Hans, 49
Le Moi et la réalité, 57
Totem et tabou, 71
Le narcissisme, 83
III – LE RÉEL ET L'IDÉAL
La pulsion de mort et le réel, 99
L'éducation à la réalité, 104
Le malaise dans la civilisation, 113
IV – PSYCHANALYSE ET ÉDUCATION
Avant-propos, 125
Les critiques post-freudiennes, 128
Processus éducatif et processus psychanalytique, 133
L'analyse des enfants : psychanalyse ou pédagogie ?, 142
Une pédagogie analytique est-elle possible ?, 152
Conclusion, 167
Bibliographie, 1694° de Couverture : Quel est l'enseignement de ce livre ? C'est que le psychanalyste doit laisser la pédagogie au pédagogue, et que le pédagogue doit laisser la psychanalyse au psychanalyste.
On voudrait ici ruiner la suffisance des pédagogues, les démoraliser, puis les remettre dans leur axe, en leur apprenant qu'ils sont pris dans l'acte pédagogique.
Quant à la psychanalyse, elle n'a pas à servir de caution à la pédagogie molle. Le savoir de l'inconscient est un savoir qui ne sert de rien. Et c'est un savoir qui n'a pas de maître.
Si la castration est la maladie de l'être parlant, la psychanalyse enseigne que c'est une maladie incurable.
Ces thèses font l'objet d'une démonstration patiente, à travers une relecture de l'ensemble de l'oeuvre de Freud, guidée par l'enseignement de Jacques Lacan.Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 100158 AUTR Livre Etagères de la Maison de la psychanalyse Autres auteurs (AUTR) Exclu du prêt PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPermalink