| Titre : |
Etudes d'histoire de la pensée philosophique |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Alexandre Koyre, Auteur |
| Editeur : |
Gallimard |
| Année de publication : |
1971 |
| Collection : |
Tel |
| Importance : |
368 pages |
| ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-023981-8 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Sommaire : |
REMARQUES son LES PARADOXES DE XÉNON, 9
I. Les arguments de Zénon, 10
II. Équivalence des interprétations possibles, 11
III. L’hypothèse finitiste de F. Evellin, 13
IV. La critique matérielle de Noël, 15
V. Bergson, 17
VI. Analyse des arguments de Bergson, 18
VII. Analyse des arguments de Noël, 20
VIII. Le sens des arguments de Zénon, 21
IX. L’infini — Descartes, 24
X. Les paradoxes de l’infini. — Bernhard Bolzano, 26
XI. Georg Cantor, 27
XII. L’infini et le continu, 29
XIII. Le mouvement, 31
XIV. Mouvement et repos, 33
Conclusion, 34
LE VIDE ET L’ESPACE INFINI AU XIVe SIÈCLE, 37
I. Introduction, 37
II. Henri de Gand, 46
III. Richard de Middleton, 63
IV. Walter Burleigh, 72
V. Thomas Bradwardine, 79
LE CHIEN CONSTELLATION CÉLESTE, ET LE CHIEN ANIMAL ABOYANT, 93
CONDORCET, 103
LOUIS DE BONALD, 127
HEGEL A IÉNA, 147
NOTE SUR LA LANGUE ET LA TERMINOLOGIE HÉGÉLIÈNNES, 191
RAPPORT SUR L’ETAT DES ÉTUDES HÉGÉLIENNES EN FRANCE, 225
Post-scriptum, 249
DE L’INFLUENCE DES CONCEPTIONS PHILOSOPHIQUES SUR L’EVOLUTION DES THÉORIES SCIENTIFIQUES, 253
L’ÉVOLUTION PHILOSOPHIQUE DE MARTIN HEIDEGGER, 271
LES PHILOSOPHES ET LA MACHINE, 305
I. L'appréciation du machinisme, 305
II. Les origines du machinisme, 315
DU MONDE DE L’ « A-PEU-PRÈS » A L’UNIVERS DE LA PRÉCISION, 341 |
| 4° de Couverture : |
Le réel ne peut se saisir: il se donne en se dérobant comme angoisse ou comme jouissance. L’ordre des choses (ce qu’on appelle : la réalité) s’établit en masquant le réel, que les différents discours s’emploient à contenir. Sauf celui de la psychanalyse.
Car un sceau consacre le dérobement du réel: c’est l’objet de la pulsion tel que la psychanalyse l’a tôt reconnu et tel que J. Lacan l’a conceptualisé comme objet a. Cachet sans substance qui tient ouverte la béance du sujet, en même temps qu’il soutient de son ombre sans chiffre la chaîne des représentations.
Pour démasquer le. réel, le psychanalyste doit repérer cet objet — encore plus sûrement qu’il ne doit savoir manier la lettre.
A partir de trois observations, et au long du texte d’un semestre d’enseignement à Vincennes, une question s’impose ainsi comme une suite à celle de Psychanalyser : «être psychanalyste» n’est-ce pas, en définitive, tenir compte du réel ? |
Etudes d'histoire de la pensée philosophique [texte imprimé] / Alexandre Koyre, Auteur . - Gallimard, 1971 . - 368 pages. - ( Tel) . ISBN : 978-2-07-023981-8 Langues : Français ( fre)
| Sommaire : |
REMARQUES son LES PARADOXES DE XÉNON, 9
I. Les arguments de Zénon, 10
II. Équivalence des interprétations possibles, 11
III. L’hypothèse finitiste de F. Evellin, 13
IV. La critique matérielle de Noël, 15
V. Bergson, 17
VI. Analyse des arguments de Bergson, 18
VII. Analyse des arguments de Noël, 20
VIII. Le sens des arguments de Zénon, 21
IX. L’infini — Descartes, 24
X. Les paradoxes de l’infini. — Bernhard Bolzano, 26
XI. Georg Cantor, 27
XII. L’infini et le continu, 29
XIII. Le mouvement, 31
XIV. Mouvement et repos, 33
Conclusion, 34
LE VIDE ET L’ESPACE INFINI AU XIVe SIÈCLE, 37
I. Introduction, 37
II. Henri de Gand, 46
III. Richard de Middleton, 63
IV. Walter Burleigh, 72
V. Thomas Bradwardine, 79
LE CHIEN CONSTELLATION CÉLESTE, ET LE CHIEN ANIMAL ABOYANT, 93
CONDORCET, 103
LOUIS DE BONALD, 127
HEGEL A IÉNA, 147
NOTE SUR LA LANGUE ET LA TERMINOLOGIE HÉGÉLIÈNNES, 191
RAPPORT SUR L’ETAT DES ÉTUDES HÉGÉLIENNES EN FRANCE, 225
Post-scriptum, 249
DE L’INFLUENCE DES CONCEPTIONS PHILOSOPHIQUES SUR L’EVOLUTION DES THÉORIES SCIENTIFIQUES, 253
L’ÉVOLUTION PHILOSOPHIQUE DE MARTIN HEIDEGGER, 271
LES PHILOSOPHES ET LA MACHINE, 305
I. L'appréciation du machinisme, 305
II. Les origines du machinisme, 315
DU MONDE DE L’ « A-PEU-PRÈS » A L’UNIVERS DE LA PRÉCISION, 341 |
| 4° de Couverture : |
Le réel ne peut se saisir: il se donne en se dérobant comme angoisse ou comme jouissance. L’ordre des choses (ce qu’on appelle : la réalité) s’établit en masquant le réel, que les différents discours s’emploient à contenir. Sauf celui de la psychanalyse.
Car un sceau consacre le dérobement du réel: c’est l’objet de la pulsion tel que la psychanalyse l’a tôt reconnu et tel que J. Lacan l’a conceptualisé comme objet a. Cachet sans substance qui tient ouverte la béance du sujet, en même temps qu’il soutient de son ombre sans chiffre la chaîne des représentations.
Pour démasquer le. réel, le psychanalyste doit repérer cet objet — encore plus sûrement qu’il ne doit savoir manier la lettre.
A partir de trois observations, et au long du texte d’un semestre d’enseignement à Vincennes, une question s’impose ainsi comme une suite à celle de Psychanalyser : «être psychanalyste» n’est-ce pas, en définitive, tenir compte du réel ? |
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