Titre : |
Nouvelles conférences d'introduction à la psychanalyse : Traduit de l'allemand par Rose-Marie Zeitlin |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Sigmund Freud, Auteur ; Rose-Marie Zeitlin, Auteur |
Editeur : |
Gallimard |
Année de publication : |
1984 |
Collection : |
Connaissance de l'inconscient, ISSN 2-07-072896 |
Importance : |
274 pages |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-07-070054-7 |
Langues : |
Français (fre) Langues originales : Allemand (ger) |
Sommaire : |
Note liminaire
Préface, 9
XXIXe Conférence : Révision de la théorie du rêve, 13
XXXe Conférence : Le rêve et l'occultisme, 45
XXXIe Conférence : La décomposition de la personnalité psychique, 80
XXXIIe Conférence : Angoisse et vie pulsionnelle, 111
XXXIIIe Conférence : La féminité, 150
XXXIVe Conférence : Éclaircissements, applications, orientations, 182
XXXVe Conférence : Sur une Weltanschauung, 211
Bibliographie, 245
Index, 249 |
4° de Couverture : |
Dans cette série paraîtront, dans de nouvelles traductions, les œuvres de Freud du fonds Gallimard. Traductions nouvelles : à la différence des grandes œuvres, toujours plus présentes, les traductions vieillissent.
Celles qui seront ici proposées au lecteur obéissent à un double souci ; souci de précision, notamment terminologique ; souci de ne sacrifier ni au culte de la « littéralité » ni à celui de l’« élégance » à tout prix, qui l’un et l'autre dénaturent le texte original. S'agissant de Freud, donc de l’inconscient, il n’y a pas lieu d’eviter ce qu’on a pu appeler «l’épreuve de l’étranger».
Les Nouvelles conférences, bien qu’elles n’aient pas été prononcées par Freud, font suite aux Conférences de 1917, dites également «d’introduction ». Mais, qu’on ne s’y trompe pas : introduire, pour Freud, ce n’est pas répéter du déjà connu, c’est presque toujours apporter du nouveau, ébranler le savoir constitué, même par lui. C’est ainsi qu’on trouvera dans les Nouvelles conférences, entre autres, une révision de la théorie du rêve, des aperçus troublants sur l’occultisme et une modification de ses vues, aujourd’hui hâti¬vement contestées, sur la féminité. Enfin, dans la dernière conférence, Freud dit avec une rare vigueur son refus de transformer la psycha¬nalyse en Weltanschauung. On y rencontre cette profession de foi étonnante de la part de celui à qui on reproche souvent d’avoir trop cédé aux séductions de l’irrationnel : «C’est notre meilleur espoir pour l’avenir que l’intellect - l’esprit scientifique, la raison - parvienne avec le temps à la dictature dans la vie psychique de l’homme. » (Nous sommes en 1933...)
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Nouvelles conférences d'introduction à la psychanalyse : Traduit de l'allemand par Rose-Marie Zeitlin [texte imprimé] / Sigmund Freud, Auteur ; Rose-Marie Zeitlin, Auteur . - Gallimard, 1984 . - 274 pages. - ( Connaissance de l'inconscient, ISSN 2-07-072896) . ISBN : 978-2-07-070054-7 Langues : Français ( fre) Langues originales : Allemand ( ger)
Sommaire : |
Note liminaire
Préface, 9
XXIXe Conférence : Révision de la théorie du rêve, 13
XXXe Conférence : Le rêve et l'occultisme, 45
XXXIe Conférence : La décomposition de la personnalité psychique, 80
XXXIIe Conférence : Angoisse et vie pulsionnelle, 111
XXXIIIe Conférence : La féminité, 150
XXXIVe Conférence : Éclaircissements, applications, orientations, 182
XXXVe Conférence : Sur une Weltanschauung, 211
Bibliographie, 245
Index, 249 |
4° de Couverture : |
Dans cette série paraîtront, dans de nouvelles traductions, les œuvres de Freud du fonds Gallimard. Traductions nouvelles : à la différence des grandes œuvres, toujours plus présentes, les traductions vieillissent.
Celles qui seront ici proposées au lecteur obéissent à un double souci ; souci de précision, notamment terminologique ; souci de ne sacrifier ni au culte de la « littéralité » ni à celui de l’« élégance » à tout prix, qui l’un et l'autre dénaturent le texte original. S'agissant de Freud, donc de l’inconscient, il n’y a pas lieu d’eviter ce qu’on a pu appeler «l’épreuve de l’étranger».
Les Nouvelles conférences, bien qu’elles n’aient pas été prononcées par Freud, font suite aux Conférences de 1917, dites également «d’introduction ». Mais, qu’on ne s’y trompe pas : introduire, pour Freud, ce n’est pas répéter du déjà connu, c’est presque toujours apporter du nouveau, ébranler le savoir constitué, même par lui. C’est ainsi qu’on trouvera dans les Nouvelles conférences, entre autres, une révision de la théorie du rêve, des aperçus troublants sur l’occultisme et une modification de ses vues, aujourd’hui hâti¬vement contestées, sur la féminité. Enfin, dans la dernière conférence, Freud dit avec une rare vigueur son refus de transformer la psycha¬nalyse en Weltanschauung. On y rencontre cette profession de foi étonnante de la part de celui à qui on reproche souvent d’avoir trop cédé aux séductions de l’irrationnel : «C’est notre meilleur espoir pour l’avenir que l’intellect - l’esprit scientifique, la raison - parvienne avec le temps à la dictature dans la vie psychique de l’homme. » (Nous sommes en 1933...)
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